« Ainsi parle l’Éternel: Maudit soit l’homme qui se confie dans l’homme, Qui prend la chair pour son appui, Et qui détourne son cœur de l’Éternel! Béni soit l’homme qui se confie dans l’Éternel, Et dont l’Éternel est l’espérance!»

(Jérémie 17:5,7 )

 

 LA SIMPLE HUMANITE DE MAHOMET

 

Commençons d’abord par analyser les témoignages montrant la simple humanité voire la fragilité de Mahomet . En effet, les déclarations du Coran sont claires ; Il était seulement un humain, avec toutes les limites et les faiblesses inhérentes à chaque créature:

 

Et ils dirent: «Nous ne croirons pas en toi, jusqu’à ce que tu aies fait jaillir de terre, pour nous, une source; … ou que tu sois monté au ciel. Encore ne croirons-nous pas à ta montée au ciel, jusqu’à ce que tu fasses descendre sur nous un Livre que nous puissions lire». Dis-[leur]: «Gloire à mon Seigneur! Ne suis-je qu’un être humain-Messager?»

S1. 17:90-93 2

 

Dis: « Je suis en fait un être humain comme vous. Il m’a été révélé que votre Dieu est un Dieu unique! Quiconque, donc, espère rencontrer son Seigneur, qu’il fasse de bonnes actions et qu’il n’associe dans son adoration aucun autre à son Seigneur». S. 18:110

Et ils dirent: « Pourquoi n’a-t-on pas fait descendre sur lui des prodiges de la part de son Seigneur?» Dis: « Les prodiges sont auprès d’Allah. Moi, je ne suis qu’un avertisseur bien clair»….Ne leur suffit-il donc point que Nous ayons fait descendre sur toi le Livre et qu’il leur soit récité? Il y a assurément là une miséricorde et un rappel pour des gens qui croient.

S. 29:50-51

 

Dis: « Si je m’égare, je ne m’égare qu’à mes dépens; tandis que si je me guide, alors c’est grâce à ce que Mon Seigneur me révèle, car Il est Audient3 et Proche».

S. 34:50

 

MAHOMET INCERTAIN DE SON SALUT

 

Dis: « Je ne suis pas une innovation parmi les messagers; et je ne sais pas ce que l’on fera de moi, ni de vous. Je ne fais que suivre ce qui m’est révélé; et je ne suis qu’un avertisseur clair».

S. 46:9


Mahomet lui-même a nié avoir connaissance de l’avenir, en disant que seul Allah connaît à la fois l’invisible et l’avenir:

Dis-[leur]: « Je ne vous dis pas que je détiens les trésors d’Allah, ni que je connais l’Inconnaissable, et je ne vous dis pas que je suis un ange. Je ne fais que suivre ce qui m’est révélé.» Dis: « Est-ce que sont égaux l’aveugle et celui qui voit? Ne réfléchissez-vous donc pas?» C’est Lui qui détient les clefs de l’Inconnaissable. Nul autre que Lui ne les connaît. Et Il connaît ce qui est dans la terre ferme, comme dans la mer. Et pas une feuille ne tombe qu’Il ne le sache. Et pas une graine dans les ténèbres de la terre, rien de frais ou de sec, qui ne soit consigné dans un livre explicite.

S. 6:50, 59


Dis: « Je ne détiens pour moi-même ni profit ni dommage, sauf ce qu’Allah veut. Et si je connaissais l’Inconnaissable, j’aurais eu des biens en abondance et aucun mal ne m’aurait touché. Je ne suis, pour les gens qui croient, qu’un avertisseur et un annonciateur».

S. 7:188

 

Ibn Umar:

Le Prophète a dit, « Les clés de l’invisible sont cinq et personne ne les connaît sauf Allah : (1) Nul ne sait ce qui est dans le sein de la femme, sauf Allah: (2) Nul ne sait ce qui va arriver demain, sauf Allah, (3) Nul ne sait quand il va pleuvoir, sauf Allah, (4) Nul ne sait où il va mourir, sauf Allah (le sait), (5) et personne ne sait quand le temps sera accompli / établi, sauf Allah. »

(Sahih Al-Bukhari, Volume 9, livre 93, n° 476)

 

Aussi, quand une jeune fille a dit: « Le Messager d’Allah est parmi nous, lui sait de quoi demain sera fait», il lui a dit : « Abandonne ces mots, et dit ce que tu disais avant (un vieux poème arabe) »… (Ibn Qayyim al-Jauziyyah,)4


Aïcha, la plus jeune femme de Mahomet , avait fait de fermes remontrances envers ceux qui prétendaient que Mahomet connaissait le monde invisible:


Rapporté par Masruq:

Aisha dit: « Si quelqu’un vous dit que Mahomet a vu son Seigneur, c’est un menteur, car Allah a dit:« aucune vision ne peut le saisir» (6.103) Et si quelqu’un vous dit que Mahomet a vu le monde invisible, c’est un menteur, car Allah dit: ” Personne n’a la connaissance de l’invisible, sauf Allah. »

(Sahih Al- Bukhari, Volume 9, livre 93, n° 477)


Le Professeur Jeffery Lang, un converti à l’islam, a fait cette déclaration au sujet de la connaissance que Mahomet sur l’invisible et la difficulté qu’il a rencontrée avec la tradition postérieure qui lui accorde un tel pouvoir

(3) Le Coran déclare que le Prophète a été interrogé de manière récurrente sur la date du Jour du Jugement, et Dieu lui a ordonné maintes fois de répondre simplement, « Ce savoir n’appartient qu’à Dieu. » Dans les Hadiths, cependant, le Prophète fournit de nombreuses prédictions d’événements, qui préludent à sa venue. Et comme le Coran insiste tellement sur la façon dont le Prophète doit répondre à ces questions, je trouverais cela bizarre s’il offrait autant de détails et de révélation sur l’arrivée de l’Heure.

(Lang, Losing My Religion: A Call For Help [Amana Publications, 2004], p. 250)


En notes de bas de page, il fournit toute une série de références qui nient expressément que Mahomet connaissait l’avenir: Sourates 7:187 ; 10:48-49 ; 27:71 ; 31:34 ; 32:28 ; 33:63 ; 34:29 ; 36:48 ; 43:85 ; 51:12 ; 67:25-26 ; 72: 25 ; 79:42-45. (Ibid., fn. 140)

 

MAHOMET EST UN PECHEUR

 

Nous avons fait descendre vers toi le Livre avec la vérité, pour que tu juges entre les gens, selon ce qu’Allah t’a appris. Et ne te fais pas l’avocat des traîtres. Et implore d’Allah le pardon car Allah est certes Pardonneur et Miséricordieux. Et ne dispute pas en faveur de ceux qui se trahissent eux-mêmes. Allah, vraiment, n’aime pas le traître et le pécheur..

S. 4:105-107


Qu’Allah te pardonne! [Mahomet ] Pourquoi leur as-tu donné permission avant que tu ne puisses distinguer ceux qui disaient vrai et reconnaître les menteurs?

S. 09:43


Endure donc [Mahomet ], car la promesse d’Allah est vérité, implore le pardon pour ton péché et célèbre la gloire et la louange de ton Seigneur, soir et matin.

S. 40:55


Sache donc [Mahomet ] qu’en vérité il n’y a point de divinité à part Allah et implore le pardon pour ton péché, ainsi que pour les croyants et les croyantes. Allah connaît vos activités (sur terre) et votre lieu de repos (dans l’au-delà).

S. 47:19


En vérité Nous t’avons accordé [Mahomet ] une victoire éclatante, afin qu’Allah te pardonne tes péchés, passés et futurs, qu’Il parachève sur toi Son bienfait et te guide sur une voie droite;

S. 48:1-2

 MAHOMET NEGLIGE LES PAUVRES ET DES AVEUGLES

 

Pour avoir commis ces péchés, il fut sévèrement châtié:

Et ne repousse pas ceux qui, matin et soir, implorent leur Seigneur, cherchant sa Face « Wajh». Leur demander compte ne t’incombe en rien, et te demander compte ne leur incombe en rien. En les repoussant donc, tu serais du nombre des injustes.

S. 06:52


Il s’est renfrogné et il s’est détourné parce que l’aveugle est venu à lui. Qui te dit: peut-être [cherche]-t-il à se purifier? ou à se rappeler en sorte que le rappel lui profite? Quant à celui qui se complaît dans sa suffisance (pour sa richesse) tu vas avec empressement à sa rencontre. Or, que t’importe qu’il ne se purifie pas». Et quant à celui qui vient à toi avec empressement tout en ayant la crainte, tu ne t’en soucies pas.

S. 80:1-10


L’érudit chrétien contemporain ‘Abdallah Abd al-Fadi a commenté ces textes:

Il a été rapporté que Ibn Umm Maktoum est venu vers Mahomet alors que ce dernier parlait avec la noblesse de Quraish, et lui a dit: « Récite-moi et apprends-moi ce que Dieu t’a appris. » Mahomet , cependant, ne lui accorda aucune attention et se détourna de lui. Il se dit en lui-même: « Ces grands hommes disent que seuls les garçons, les esclaves, et le bas de la société le suivent. » Mahomet fronça les sourcils, se détourna de lui avec dédain, et continua de parler aux nobles.


Nous nous demandons comment Mahomet pouvait assister les personnes influentes et rejeter les pauvres, les nécessiteux, et dans ce cas précis, des aveugles, s’il était de la même essence que Christ, Lui qui a agi avec compassion et tendresse quand un aveugle est venu à lui 

 

 IL SE FAIT MEME MENACER PAR ALLAH

 

Ils ont failli te détourner de ce que Nous t’avions révélé, [dans l’espoir] qu’à la place de ceci, tu inventes quelque chose d’autre et (l’imputes) à Nous. Et alors, ils t’auraient pris pour ami intime. Et si Nous ne t’avions pas raffermi, tu aurais bien failli t’incliner quelque peu vers eux. Alors, Nous t’aurions certes fait goûter le double [supplice] de la vie et le double [supplice] de la mort; et ensuite tu n’aurais pas trouvé de secoureur contre Nous.

S. 17:73-75

Ô Prophète! Crains Allah et n’obéis pas aux infidèles et aux hypocrites, car Allah demeure Omniscient et Sage.

S. 33:1

Et s’il avait forgé quelques paroles qu’ils Nous avait attribuées, Nous l’aurions saisi de la main droite, ensuite, Nous lui aurions tranché l’aorte. Et nul d’entre vous n’aurait pu lui servir de rempart.

S. 69:44-47

 

 MAHOMET: FAILLIBLE, ORDINAIRE E IMPARFAIT

 

Les hadiths témoignent aussi qu’il n’était pas plus qu’un être humain.

Rapporté par Abu Huraira:

Quand Allah a révélé le verset: « Prévenez vos parents les plus proches » l’Apôtre d’Allah se leva et dit: « Ô gens de Quraysh (avec des mots similaires) Sauvez-vous vous-mêmes! (de l’Enfer) car je ne peux pas vous sauver de la punition d’Allah, Ô Bani Abd Manaf ! Je ne peux pas te sauver de la punition d’Allah, Ô Safiya, la tante de l’Apôtre d’Allah ! je ne peux pas te sauver de la punition d’Allah, Ô Fatima …  ! Demande-moi n’importe quoi de ma richesse, mais je ne peux pas te sauver de la punition d’Allah. »

(Sahih Al- Bukhari, Volume 4, livre 51, n° 16)


Rapporté par Um al-‘Ala:

Histoire d’une femme d’Ansari ayant donné le serment d’allégeance au Prophète : Il a été décidé qu’ Uthman bin Mazun habitera avec eux, ‘Uthman est tombé malade et je l’ai soigné jusqu’à sa mort, et nous l’avons habillé de ses vêtements. Ensuite, le Prophète est venu à nous et j’ai dit (en m’adressant au cadavre): « Ô Abou As-Sa’ib, que la miséricorde d’Allah soit sur toi! Je témoigne de ce que Dieu t’a honoré. » Sur ce, le Prophète a dit: « Comment sais-tu qu’Allah lui a rendu hommage ? » J’ai répondu:« Je ne sais pas. Que mon père et ma mère soient sacrifiés pour toi, Ô Apôtre d’Allah ! Mais qui d’autre en est digne (sinon Uthman)? » Il a répondu: « Quant à lui, par Allah, la mort l’a rattrapé, et j’espère le meilleur pour lui. Par Allah, si je suis le Messager d’Allah, mais je ne sais (même) pas ce qu’Allah va me faire » Par Allah, je ne jugerai plus de la piété de quelqu’un après celui-ci. Cela m’a rendu triste, et dans mon sommeil, j’ai vu en rêve un ruisseau qui coule pour Uthman. Je suis allé à l’Apôtre d’Allah et lui en ai parlé. Il m’a fait remarqué, « ceci symbolise ses (bonnes) actions. »

(Sahih Al- Bukhari, Volume 5, livre 58, n° 266)


Rapporté par Abu Huraira:

J’ai entendu l’Apôtre d’Allah dire: « Les bonnes actions d’une personne ne le feront pas entrer dans le Paradis. » (per ex. personne ne peut entrer au Paradis grâce à ses bonnes actions.) Ils (les compagnons du Prophète) ont répondu: « Pas même toi, Ô Apôtre d’Allah? » Il a dit: « Pas même moi, à moins qu’Allah m’accorde Sa grâce et sa miséricorde. » Alors, soyez modéré dans vos œuvres religieuses et faites celles qui relèvent de votre compétence. Aucun d’entre vous ne souhaite mourir, s’il est un bon pratiquant, il peut augmenter ses bonnes œuvres, et s’il est un malfaiteur, il peut se repentir vers Allah »

(Sahih Al- Bukhari, Bukhari Volume 7, Livre 70, n° 577, voir aussi Volume 8, Livre 76, n° 470).

 

 

NEGATION CATEGORIQUE D'ETRE AUSSI GRAND QUE MOISE ET JONAS

 

Rapporté Abdullah:

Le Prophète a dit: « Personne n’a le droit de dire que je suis meilleur que Jonas … »

(Sahih Al- Bukhari, Volume 6, Livre 60, n° 127)


Rapporté par Abu Huraira:

Le Prophète a dit: « Celui qui dit que je suis meilleur que Jonas bin Matta, est un menteur. »

(Sahih Al- Bukhari, Volume 6, Livre 60, n° 128)

 

Un musulman et un Juif se querellaient, et le musulman a déclaré: « Par Celui qui a donné la supériorité de Mahomet sur tout le peuple !… » Le Juif dit: « Par Celui qui a donné à Moïse supériorité sur toutes les hommes! » Sur ce, le musulman leva la main et frappa le Juif. Le Juif est allé à l’Apôtre d’Allah et l’a informé de tout ce qui s’était passé entre lui et le musulman. Le Prophète a dit: « Ne me donnez pas la supériorité sur Moïse, car les gens vont tomber inconscients le Jour de la Résurrection, je serai le premier à reprendre conscience et voici, Moïse sera là, debout, se tenant au côtés du Trône. Je ne saurais pas s’il aura été l’un de ceux qui sont tombés inconscients puis retrouvé devant moi, ou s’il a été un de ceux exemptés par Allah (de tomber inconscient). »

(voir hadith n° 524, Vol. 8) (Sahih Al- Bukhari, Volume 9, livre 93, n° 564)

 

 ABRAHAM LA MEILLEUR DES CREATURES

 

Anas B. Malik a rapporté qu’une personne est venu au Messager d’Allah (que la paix soit sur lui) et lui dit:Ôtoi, le meilleur de la création, alors que le Messager d’Allah (que la paix soit sur lui) a dit: C’est Ibrahim (paix soit sur lui).

(Sahih Muslim, Livre 030, n° 5841)

 

CONTRASTE ENTRE MAHOMET ET LE SEIGNEUR JESUS

 

Mahomet avait désespérément besoin de la miséricorde de Dieu, alors que le Seigneur Jésus est la source de grâce, miséricorde, paix et salut pour tous ceux qui le reçoivent par la foi:

 

Et la parole a été faite chair, et elle a habité parmi nous, pleine de grâce et de vérité; et nous avons contemplé sa gloire, une gloire comme la gloire du Fils unique venu du Père. Et nous avons tous reçu de sa plénitude, et grâce pour grâce; car la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ.

(Jean 1:1416-17)

 

Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s’alarme point.

(Jean 14:27)

 

Je vous ai dit ces choses, afin que vous ayez la paix en moi. Vous aurez des tribulations dans le monde; mais prenez courage, j’ai vaincu le monde. 

(Jean 16:33)

 

Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ. (Romains 5:1) Il n’y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ.

 (Romains 8:1)

 

Car il est notre paix, lui qui des deux n’en a fait qu’un, et qui a renversé le mur de séparation, l’inimitié, ayant anéanti par sa chair la loi des ordonnances dans ses prescriptions, afin de créer en lui-même avec les deux un seul homme nouveau, en établissant la paix

 (Éphésiens 2:14-15)

 

et la grâce de notre Seigneur a surabondé, avec la foi et la charité qui est en Jésus-Christ. C’est une parole certaine et entièrement digne d’être reçue, queJésus-Christ est venudans le monde poursauver les pécheurs, dont je suis le premier. Mais j’ai obtenu miséricorde, afin que Jésus-Christ fît voir en moi le premier toute sa longanimité, pour que je servisse d’exemple à ceux qui croiraient en lui pour la vie éternelle.

(1 Timothée 1:14-16 )

 

Jean aux sept Églises qui sont en Asie: quela grâce et la paix vous soient donnéesde la part de celui qui est, qui était, et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône, etde la part de Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre! A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père,à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles! Amen!

Apocalypse 1:4-6


Étant éternellement le Fils et bien-aimé de Dieu, Jésus est infiniment supérieur à toute la Création, incluant Moïse et Jonas:


Or, je vous le dis, il y a ici quelque chose de plus grand que le temple. (Matthieu 12:6) Les hommes de Ninive se lèveront, au jour du jugement, avec cette génération et la condamneront, parce qu’ils se repentirent à la prédication de Jonas; et voici, il y a ici plus que Jonas. La reine du Midi se lèvera, au jour du jugement, avec cette génération et la condamnera, parce qu’elle vint des extrémités de la terre pour entendre la sagesse de Salomon, et voici, il y a ici plus que Salomon.

(Matthieu 12:41-42 )

 

C’est pourquoi, frères saints, qui avez part à la vocation céleste, considérez l’apôtre et le souverain sacrificateur de la foi que nous professons, Jésus, qui a été fidèle à celui qui l’a établi, comme le fut Moïse dans toute sa maison. Car il a été jugé digne d’une gloire d’autant supérieure à celle de Moïse que celui qui a construit une maison a plus d’honneur que la maison même. Chaque maison est construite par quelqu’un, mais celui qui a construit toutes choses, c’est Dieu. Pour Moïse, il a été fidèle dans toute la maison de Dieu, comme serviteur, pour rendre témoignage de ce qui devait être annoncé; mais Christ l’est comme Fils sur sa maison; et sa maison, c’est nous, pourvu que nous retenions jusqu’à la fin la ferme confiance et l’espérance dont nous nous glorifions.

(Hébreux 3:1-6 )

 

C’est par la foi que Moïse, devenu grand, refusa d’être appelé fils de la fille de Pharaon, aimant mieux être maltraité avec le peuple de Dieu que d’avoir pour un temps la jouissance du péché, regardantl’opprobre de Christcomme une richesse plus grande que les trésors de l’Egypte, car il avait les yeux fixés sur la rémunération.

Hébreux 11:24-26

 

En fait, Abraham s’est réjouit de savoir que Jésus-Christ allait venir:

 

En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. Maintenant, lui dirent les Juifs, nous connaissons que tu as un démon. Abraham est mort, les prophètes aussi, et tu dis: Si quelqu’un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. Es-tu plus grand que notre père Abraham, qui est mort? Les prophètes aussi sont morts. Qui prétends-tu être? Jésus répondit: Si je me glorifie moi-même, ma gloire n’est rien. C’est mon Père qui me glorifie, lui que vous dites être votre Dieu, et que vous ne connaissez pas. Pour moi, je le connais; et, si je disais que je ne le connais pas, je serais semblable à vous, un menteur. Mais je le connais, et je garde sa parole. Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu’il verrait mon jour: il l’a vu, et il s’est réjoui. Les Juifs lui dirent: Tu n’as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham! Jésus leur dit: En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu’Abraham fût, je suis. Là-dessus, ils prirent des pierres pour les jeter contre lui; mais Jésus se cacha, et il sortit du temple.

(Jean 8:51-59)

voir encore Jean 5:45-47

 

LA MORT

 

Mahomet n’étant rien de plus qu’un simple humain, il a finalement dû mourir, comme tout le monde.

Mahomet n’est qu’un messager – des messagers avant lui sont passés -. S’il mourait, donc, ou s’il était tué, retourneriez-vous sur vos talons? Quiconque retourne sur ses talons ne nuira en rien à Allah; et Allah récompensera bientôt les reconnaissants. S. 3:144


En vérité tu mourras et ils mourront eux aussi; ensuite, au Jour de la Résurrection, vous vous disputerez auprès de votre Seigneur. S. 39:30-31


La mort de Mahomet a causé chocs et traumatismes pour ceux qui l’aimaient:

 

Rapporté par Aisha (l’épouse du Prophète) :

Mort de Mahomet, Istanbul, 1595

L’Apôtre d’Allah est mort alors qu’ Abu Bakr était à As-Sunah (Al-‘Aliya). Umar se leva et dit: « Par Allah ! L’Apôtre d’Allah n’est pas mort! » Umar (plus tard) a dit:« Par Allah ! Rien d’autre ne me vint à l’esprit, que cela » Il dit encore:« En vérité ! Allah le ressuscitera et coupera les mains et les jambes de certains. » Puis Abou Bakr vint et découvrit le visage de l’Apôtre d’Allah, l’embrassa et lui dit: « Que ma mère et mon père soient sacrifiés pour toi, (Ô Apôtre d’Allah), tu es bon dans la vie et dans la mort. Par Allah, dans les mains duquel est ma vie, qu’Allah ne vous fasse jamais goûter la mort deux fois. » Puis il sortit et dit:« Ô preneur serment ! Ne vous précipitez pas. » Lorsqu’Abou Bakr a parlé, Umar s’assit. Abu Bakr loua et glorifia Allah et dit: « très certainement, pour quiconque qui adorerait Mahomet , alors Mahomet est mort, mais pour celui qui adore Allah, alors Allah est vivant et ne mourra jamais » Puis il récita la déclaration d’Allah: -. ».. (Ô Mahomet ) En vérité tu mourras et ils mourront eux aussi; (39.30) Il récita également: – « Mahomet n’est qu’un messager – des messagers avant lui sont passés -. S’il mourait, donc, ou s’il était tué, retourneriez-vous sur vos talons? Quiconque retourne sur ses talons ne nuira en rien à Allah; et Allah récompensera bientôt les reconnaissants. » (S. 3.144)… Alors Abu Bakr conduisit le peuple d’une marche à suivre véridique, et les familiarisa avec le droit chemin qu’ils devaient suivre afin qu’ils sortent en récitant: – « Mahomet n’est qu’un messager – des messagers avant lui sont passés .

(3.144) (Sahih Al- Bukhari, Volume 5, livre 57, n° 19)


Le Seigneur Jésus, en revanche, est celui qui a vaincu la mort par sa résurrection, ouvrant la voie de l’immortalité:

…notre Sauveur Jésus-Christ, qui a détruit la mort et a mis en évidence la vie et l’immortalité par l’Évangile.

(2 Timothée 1:10b)

 

Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant: Ne crains point! Je suis le premier et le dernier, et le vivant. J’étais mort; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts.

(Apocalypse 1:17-18 )

 

Je suis l’alpha et l’oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant.

(Apocalypse 02:08)


Les hadiths même mettent les musulmans en garde de ne pas louer exagérément Mahomet :

Rapporté ‘ Umar:

J’ai entendu le Prophète dire: « N’exagérez pas en me louant comme les chrétiens ont loué le fils de Marie, car je ne suis qu’un esclave. Alors, appelez-moi l’esclave d’Allah et Son Apôtre. »

(Sahih Al- Bukhari, Volume 4, livre 55, n° 654)


D’autres récits disent que Mahomet a donné de mauvais conseils, maudit ses frères musulmans par colère, aurait oublié des choses et même se faisait chercher les poux !

 

Par Anas bin Malik:

L’Apôtre d’Allah visitait Um-Haran-bint-Milhan, qui lui offrait des repas. Um-Haram était l’épouse de Ben-Ubada As-Samit. L’Apôtre d’Allah, l’a visité une fois et elle lui a donné à manger et a commencé à lui chercher des poux dans sa tête…

(Sahih Al- Bukhari, Volume 4, livre 52, n° 47)


Par Aisha

Le Messager d’Allah (que la paix soit sur lui) était habitué à réparer ses sandales, coudre ses vêtements et se conduire à la maison comme n’importe qui d’entre vous se conduit dans sa maison. Il était un être humain, cherchant les poux dans ses vêtements, faisant la traite des brebis, et faisant ses propres tâches. Tirmidhi a transmise.

(Tirmidhi Hadith, n° 1530)


Aïcha a rapporté que deux personnes ont visité le Messager d’Allah (que la paix soit sur lui) et deux d’entre eux ont parlé d’une chose dont je ne suis pas au courant, mais qui l’ennuyait, il a alors invoqué la malédiction sur eux et leur a jeté un sort, et quand ils sont sortis, j’ai dit: Le Messager d’Allah, le bien pourrait atteindre tout le monde, mais il ne saurait atteindre ces deux là. Il a dit: Pourquoi donc? J’ai dit: Parce que tu as invoqué malédiction et leur a jeté un sort. Il a dit: Ne savez vous pas ce que j’ai accordé avec mon Seigneur: Ô Allah, je suis un être humain. Transforme en source de pureté et de récompense les malédictions que j’invoque ou lance sur les musulmans. 

(Sahih Muslim, Livre 032, n° 6285)


Salim, L’esclave affranchi de Nasriyyin, dit: J’ai entendu Abu Hurayra dire avoir entendu le Messager d’Allah (que la paix soit sur lui) dire: Ô Allah, Mahomet est un être humain. Je perds mon sang-froid comme tout être humain le perd, et j’ai tenu une alliance avec toi que tu n’as pas voulu rompre: Lorsque je fais des problèmes à un croyant, ou invoque la malédiction sur lui et le bats, fait expiation (de ses péchés) parce qu’il sera près de toi le Jour de la Résurrection.

(Sahih Muslim, Livre 032, n° 6293)


Rapporté de Rafi Khadij

Le Messager d’Allah (que la paix soit sur lui) est venu à Médine et le peuple était en train de greffer des arbres. Il a dit: Que faites-vous ? ils ont répondu: Nous les greffons, après quoi il a dit: Il est peut-être bon pour vous que vous ne le faisiez pas, alors ils ont abandonné cette pratique (et les dattiers) ont commencé à produire moins de fruits. Ils ont alors fait mention de ceci (au Prophète), après quoi il leur a dit: Je suis un être humain, donc quand je vous donne un ordre relatif à la religion, acceptez le, et quand je vous ordonne quelque chose selon mon opinion personnelle, gardez à l’esprit que je suis un être humain. Ikrima a rapporté qu’il a dit quelque chose comme ça.

(Sahih Muslim, Livre 030, n° 5831)


Rapporté d’Abdullah Ibn Mas’ud:

L’Apôtre d’Allah (paix soit sur lui) a officié la prière. La version du narrateur Ibrahim est ainsi: Je ne sais pas s’il a augmenté ou diminué (les rak’ahs de prière). Quand il les a salués, on lui a demandé: Apôtre d’Allah, est-ce que quelque chose de nouveau s’est produit dans la prière? Il a répondu: Qu’est-ce qui se passe? Ils ont dit: Tu as prié tant de rak’a. Il a ensuite avancé son pied, fait face à la Qibla et a fait deux prosternations. Il a ensuite salué. Quand il se détourna (fini la prière), il tourna son visage vers nous et dit: Si quelque chose de nouveau s’était produit dans la prière, je vous aurais informé. Je ne suis qu’un être humain et j’oublie tout comme vous le faites, alors quand j’oublie, rappelez-le moi, et quand l’un de vous a des doutes sur sa prière, il doit viser à ce qui est correct, et compléter sa prière à cet égard, puis donner le salut et ensuite faire deux prosternations.

(Sunan Abu Dawud, Livre 3, n° 1015)

 

Ces versets semblent être suffisamment clairs pour tout lecteur et montrent de manière directe que Mahomet est une simple créature et qu’il ne doit donc pas être adoré.

En fait, les musulmans sont furieux quand les non-musulmans les accusent d’adorer Mahomet . La citation suivante tirée d’un site musulman réfute cette ‘idée fausse’ :

 

 LES MUSULMANS ADORENT MAHOMET

 

Selon la croyance islamique, le prophète Mahomet était le dernier messager de Dieu.

Comme tous les prophètes et messagers de Dieu – Noé, Abraham, Moïse et Jésus – Il n’était qu’un être humain. Les chrétiens ont admis à l’hypothèse erronée que les Musulmans adorent Mahomet en formulant une analogie erronée – ils adorent Jésus, et ils assument que les Musulmans adorent Mahomet. C’est l’une des raisons pour lesquelles ils ont appelé les musulmans sous le nom incorrect “Mahométans” pendant tant d’années !

 

Mahomet , tout comme Jésus, n’a jamais revendiqué le statut divin. Il a appelé les gens à adorer uniquement le Dieu Tout-Puissant, et il a continuellement souligné son humanité afin que les gens ne tombent pas dans les mêmes erreurs que les chrétiens ont eu à l’égard de Jésus. Afin de prévenir sa déification, le Prophète Mahomet a toujours dit de se référer à lui comme « le Messager de Dieu et Son serviteur. »

Mahomet a été choisi comme dernier messager de Dieu — pour communiquer le message, non seulement en paroles, mais d’être un exemple vivant de ce message. Les musulmans l’aiment et le respectent parce qu’il était de la plus haute considération morale et il a apporté la vérité venant de Dieu – qui est le pur monothéisme de l’Islam. Même si l’islam était à ses premiers stades, Dieu a révélé que Mahomet était envoyé comme miséricorde pour toute l’humanité » – ainsi nous sommes informés que le message de l’Islam doit être très répandu.

 

Les Musulmans s’efforcent de suivre le grand exemple de Mahomet (paix soit sur lui) mais il ne l’adorent en aucun cas. De plus, l’Islam enseigne de respecter tous les prophètes et messagers de Dieu. Mais les respecter et les aimer ne signifie pas les adorer. Tous les vrais musulmans ont compris que toute adoration et prière ne doivent être dirigées que vers le Dieu tout-puissant. Inutile de dire qu’adorer Mahomet, ou un autre au coté du Dieu tout puissant est considéré comme le pire des péché dans l’Islam. Si quelqu’un affirme être musulman, mais prie et adore un autre que le Dieu tout puissant, alors cela annule et anéantit son Islam. La déclaration de foi de l’Islam montre clairement que les musulmans sont enseignés à n’adorer que Dieu.

 

Cette déclaration est la suivante: Il n’y a rien de divin ou digne d’être adoré sauf le Dieu tout-puissant, et Mahomet est le messager et servant de Dieu.”

Il semblerait donc que les musulmans ne rendent pas un culte à Mahomet ?

 

MAHOMET ET LES JUIFS : COCHONS ET SINGES ET RATS ET LÉZARDS

 

 

Le Coran contient des mythes sur les juifs et les chrétiens. Trois des versets coraniques Ces mythes sont 2:63-65, 5:60 et 7:166. Toutes les citations sont tirées de "The Noble Coran » [1].


2:63 – 65
Et (Enfants d’Israël, souvenez-vous) quand Nous avons pris votre alliance et Nous Nous sommes élevés au-dessus de vous la montagne (en disant) : "Accroche-toi à ce que Nous t’avons donné, et souviens-toi que qui est là pour que vous deveniez Al-Muttaqun. Puis, après cela, vous vous êtes détourné. Eu ce n’était pas la grâce et la miséricorde d’Allah sur vous, mais vous auriez été parmi les perdants. Et vous avez connu ceux d’entre vous qui ont transgressé en matière de Sabbat. Nous leur avons dit : « Soyez des singes, méprisés et rejetés. »

 

5.60
Dis (Mohammed aux gens du Livre) : "Je vous informerai de quelque chose de pire que cela, en ce qui concerne la récompense d’Allah : ceux (les Juifs) qui ont encouru la malédiction d’Allah et Sa colère, dont Il a transformé ceux en singes et les porcs, ceux qui adoraient les Taghut (fausses divinités) ; ceux-ci sont moins bien classés (sur le Jour de la Résurrection dans le feu de l’Enfer), et bien plus égaré du droit chemin.

 

7:166
Lorsqu’ils eurent dépassé les limites de ce qui leur était interdit, Nous leur dirons : "Soyez Vous, singes, méprisés et rejetés. (C’est un avertissement sévère à l’humanité que qu’ils ne désobéissent pas à ce qu’Allah leur ordonne de faire et qu’ils s’éloignent de ce qu’Il les interdit).


De plus, nous lisons que les érudits et les commentateurs historiques islamiques étaient d’accord avec l’interprétation littérale de ce verset :

A. Les Juifs transformés en singes

Dieu a transformé ces Juifs en singes parce qu’ils ont désobéi à Son commandement et sont allés pour pêcher le samedi. Ces Juifs habitaient une ville côtière (voir le chapitre 2:65). Le Le Coran dit :

« Et vous savez de ceux d’entre vous qui ont transgressé le sabbat, comment nous leur avons dit : « Soyez des singes, méprisés et haïs ! »

L’interprétation des commentateurs du Coran est en plein accord avec le le contenu de ces versets (se référer au Baydawi, page 14 ; Jalalan, pages 10, 11 ; Zamakhshari, partie 1, page 286). Nous lisons aussi le même incident au chapitre 7:163-166 et au chapitre 5:60 où ces Juifs ont été transformés en singes et en porcs. [2]

 

 ALLAH TRANSFORME LES JUIFS EN D'AUTRES CREATURES

 

Bukhari 4.524 :
Rapporté par Abu Huraira :
Le Prophète a dit : « Un groupe d’Israélites s’est perdu. Personne ne sait ce qu’ils ont fait. Mais je ne les vois pas, si ce n’est qu’ils ont été maudits et changés en rats, car si tu mets le lait d’une chamelle devant un rat, il ne le boira pas, mais si le lait d’une brebis est placée devant elle, elle la boira. J’ai dit cela à Ka’b qui m’a demandé « L’avez-vous entendu du Prophète ? » J’ai dit : « Oui. » Ka’b m’a posé la même question plusieurs fois. J’ai dit à Ka’b. « Est-ce que je lis la Torah ? (c’est-à-dire que je vous dis cela de la part du Prophète.) [3]

 

Livre Musulman 021, Numéro 4800 :
Abu Sa’id a rapporté qu’un Arabe du désert est venu voir le Messager d’Allah (que la paix soit) sur lui) et dit : « J’habite dans un pays bas où l’on abonde en lézards, et ce sont les de ma famille, mais il (le Saint Prophète) n’a pas répondu. Nous lui avons dit : Répétez-le (votre problème) et il l’a répété, mais il n’a pas répondu. (C’était puis le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) l’appela à la disant pour la troisième fois : "Ô homme du désert, Allah a maudit ou montré de la colère à une tribu des Bani Isra’il et les a déformés en bêtes qui se meuvent sur la terre. Je ne sais pas Peut-être que ce (lézard) est l’un d’entre eux. Alors je n’en mange pas, ni n’interdis le en mangeant. [4]

 

Livre Musulman 021, Numéro 4799 :
Abu Sa’id a rapporté qu’une personne a dit : Messager d’Allah, nous vivons dans un pays abondant Chez les lézards, alors qu’est-ce que vous commandez ou quel verdict vous donnez (sur le fait d’en manger) ? Là-dessus, il dit : « On m’a dit qu’un peuple d’entre les Bani Isra’il était déformé (il est donc probable que ces personnes aient été déformées dans le forme des lézards). Il ne nous a donc ni ordonné ni défendu.

 

Abou Dawud Livre 27, Numéro 3786 :
Rapporté par Thabit ibn Wadi’ah :
Nous étions dans une armée avec le Messager d’Allah. Nous avons eu des lézards. J’en ai rôti un lézard et l’apporta au Messager d’Allah et le plaça devant lui. Il a pris un bâton et compta ses doigts. Il dit alors : « Un groupe d’enfants d’Israël était transformé en animal de la terre, et je ne sais pas de quel animal il s’agissait. Il ne l’a pas mangé et il n’a pas défendu (sa consommation). [5]


Peut-être que Mohammed a eu l’idée des Juifs avec lesquels il a interagi.

Ils (les Juifs) dirent : « Devons-nous profaner notre sabbat et le faire le jour du sabbat ? Qu’est-ce que ceux qui nous ont précédés, que vous connaissez bien, ont été transformés en singes ? [6]

Peut-être que tout cela est une invention des musulmans qui ont revendiqué les Juifs (qui ont été massacrés) l’a dit. Quoi qu’il en soit, c’est sans fondement. Comme Abraham Geiger, l’éminent L’érudit déclare :

L’affaire des transgresseurs du sabbat, qui ont été punis en étant transformés en singes, est on suppose aussi qu’elle appartient à l’époque de David, mais cette circonstance n’est mentionnée que dans termes généraux, et rien de précis n’est donné sur le temps ou les détails, sauf au verset 82, où Le temps est donné, mais pas le fait. Chez les Juifs, il n’y a aucune trace de cette légende. [7]

 

CERTAINS MUSULMANS SERONT ÉGALEMENT TRANSFORMÉS EN PORCS ET EN SINGES

 

Mohammed a utilisé cette superstition pour effrayer ses disciples et les pousser à l’obéissance. Il prédit que, plus tard, certains musulmans se tourneraient vers les convoitises du monde et forniqueraient, Portez de la soie, buvez de l’alcool et écoutez de la musique. Leur punition est qu’Allah détruisent surnaturellement les uns et d’autres se transformeraient en singes et en cochons.

 

Bukhari 7.494B :
Rapporté par Abou 'Amir ou Abou Malik Al-Ash’ari :
qu’il a entendu le Prophète dire : « D’entre mes disciples, il y aura être des personnes qui considéreront les rapports sexuels illégaux, le port de la soie, le la consommation de boissons alcoolisées et l’utilisation d’instruments de musique, comme étant licites. Et il y en aura soyez des gens qui resteront près du flanc d’une montagne et le soir leur berger ils viendront vers eux avec leurs brebis, et leur demanderont quelque chose, mais ils lui diront : « Revenez nous voir demain. » Allah les fera périr pendant la nuit et laissera montagne tomber sur eux, et Il transformera les autres en singes et en porcs, et ils le resteront jusqu’au Jour de la Résurrection.

 

Abou Dawoud, Livre 32, Numéro 4028 :
Rapporté par Abou Amir ou Abou Malik :
AbdurRahman ibn Ghanam al-Ash’ari a dit : Abou Amir ou Abou Malik m’a dit : Je le jure par Allah un autre serment qu’il ne m’a pas cru qu’il a entendu le Messager d’Allah dire : seront parmi les gens de ma communauté qui rendront licite (l’utilisation de) khazz et de soie. Quelques d’entre eux seront transformés en singes et en porcs.

LES DÉCLARATIONS DE MOHAMMED SUR D’AUTRES ANIMAUX

LÉZARDS, ATTENTION !

 

Mouslim, Livre 026, Numéro 5562 :
'Amir b. Sa’d rapporta sur l’autorité de son père que le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soit sur lui) ordonna de tuer les geckos, et il les appela petits nuisibles Créatures.

 

Livre Musulman 026, Numéro 5564 :
Abu Huraira a rapporté que le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) a dit : Celui qui tue un gecko du premier coup pour lui est telle et telle récompense, et celui qui a tué c’est avec un second coup pour lui que telle ou telle récompense est moindre que la première, et il Celui qui l’a tué du troisième coup pour lui est telle ou telle récompense inférieure au second Un.

 

Bukhari 4.526 :
Rapporté par Umm Sharik :
Le Prophète lui a ordonné de tuer les Salamandres.

 

 

TUEZ LES SERPENTS !

 

Sunan d’Abu Dawud Livre 41, Numéro 5229 :
Rapporté par Abdullah ibn Mas’ud :
Le Prophète a dit : Tuez tous les serpents, et celui qui craint leur vengeance ne le fera pas m’appartiennent.

 

Mouslim, Livre 026, Numéro 5557 :
Il y a à Médine des « djinns », (créatures démoniaques) qui ont accepté l’Islam, donc quand vous voyez l’un d’entre eux, prononcez-lui un avertissement pendant trois jours, et s’ils comparaissent devant vous après cela, Ensuite, tuez-le, car c’est un diable.

 

Abou Dawud, Livre 41, Numéro 5240 :
Rapporté par AbdurRahman Ibn Abu Layla :
L’Apôtre d’Allah a été interrogé sur les serpents domestiques. Il a dit : Quand vous voyez l’un des dis-leur : « Je t’adjure par l’alliance que Noé a faite avec toi vous, et je vous en adjure par l’alliance que Salomon a faite avec vous de ne pas nous nuire. Ensuite, s’ils reviennent, tuez-les.

 

 

L’URINE DE CHAMEAU – LA MÉDECINE DE MAHOMET ???

 

Bukhari 8.794 :
Rapporté par Anas :
Certaines personnes de la tribu de 'Ukl sont venues vers le Prophète et ont embrassé l’Islam. Le climat de Médine ne leur convenait pas, alors le Prophète leur ordonna d’aller au (troupeau de lait) chameaux de charité et de boire, leur lait et leur urine (comme médicament). C’est ce qu’ils ont fait, et Après s’être remis de leur maladie (être devenus la santé), ils sont devenus des renégats (revenu de l’Islam) et tua le berger des chameaux et emmena les chameaux. Le Le Prophète envoya (quelques gens) à leur poursuite et ainsi ils furent (attrapés et) amenés, et les Prophètes ordonnèrent qu’on leur coupe les mains et les jambes et que l’on leur coupe les yeux. avec des morceaux de fer chauffés, et que leurs mains et leurs jambes coupées ne soient pas cautérisés, jusqu’à ce qu’ils meurent.

 

LES AILES DE MOUCHE – REMÈDE MÉDICAL CONTRE LA MALADIE ???

 

Bukhari 4.537 :
Rapporté par Abu Huraira :
Le Prophète a dit : « Si une mouche domestique tombe dans la boisson de l’un d’entre vous, qu’elle le fasse trempez-le (dans la boisson), car l’une de ses ailes a une maladie et l’autre a le remède la maladie.

 

CHIENS ET ANGES

 

Bukhari 4.539 :
Rapporté par Abou Talha : Le Prophète a dit :
« Les anges n’entrent pas dans une maison qui a un chien ou une image à l’intérieur. »

 


LES CHIENS ET LES RÉCOMPENSES CÉLESTES PERDUES

 

Bukhari 4.541 :

Rapporté par Abou Huraira :
L’Apôtre d’Allah a dit : « Si quelqu’un garde un chien, il perd un Qirat (de la récompense) de ses bonnes actions tous les jours, sauf s’il la garde dans le but de l’agriculture ou pour la protection du bétail. "

 


TUEZ TOUS LES CHIENS !

 

Mouslim, Livre 010, Numéro 3813 :
Abu Zubair entendit Jabir b. 'Abdullah (qu’Allah l’agrée) dire : Le messager (que la paix soit sur lui) nous a ordonné de tuer des chiens, et nous avons exécuté cet ordre À tel point que nous tuons aussi le chien qui vient avec une femme du désert. Puis le L’Apôtre (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) a interdit leur mise à mort. Il (le Saint Prophète) a dit : C’est ton devoir que le (chien) noir de jais ait deux taches (sur les yeux), car c’est un diable.

 

 

 

LES CHIENS NOIRS, C’EST LE DIABLE !

Mouslim, Livre 004, Numéro 1032 :
Abou Dharr a rapporté : Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) a dit : « Quand quelqu’un de vous se tient pour la prière, et il y a devant lui une chose égale à l’arrière de la selle, qui le couvre, et au cas où il n’y aurait pas devant lui (une chose) égale au dos du selle, sa prière serait interrompue par (le passage d’un) âne, d’une femme et d’un chien noir. J’ai dit: Ô Abou Dharr, quels traits y a-t-il dans un chien noir qui le distinguent du chien rouge Et le chien jaune ? Il dit : « Ô fils de mon frère, j’ai demandé au Messager d’Allah (que paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) comme vous me le demandez, et il a dit : Le chien noir est un diable.


ÂNES ET CHEVAUX

 

Bukhari 5.530 :
Rapporté par Jabir bin Abdullah :
Le jour de Khaibar, le Messager d’Allah a interdit de manger de la viande d’âne et autorisait la consommation de viande de cheval.


ÂNES ET COQS

 

Livre Musulman 035, Numéro 6581 :
Abu Huraira a rapporté que le Messager d’Allah a dit. Lorsque vous écoutez le chant des coq, demande Sa faveur à Allah lorsqu’il voit des anges et lorsque tu écoutes le braiement des âne, cherche refuge auprès d’Allah contre le Satan, car il voit Satan.

 


ÂNES, PRIÈRES ET RELOOKINGS ISLAMIQUES

 

Bukhari 1.660 :
Rapporté par Abou Huraira : Le Prophète a dit :
« Celui qui lève la tête devant l’Imam n’a-t-il pas peur qu’Allah peut transformer sa tête en celle d’un âne ou sa silhouette en celle d’un âne ?

 

 

 LA MORT DE MAHOMET

 

Et s’il [Mohammed] avait inventé contre Nous certaines paroles, Nous l’aurions certainement saisi par la main droite, alors Nous aurions certainement coupé son aorte.
Coran 69:44-46

HADITHS

SAHIH AL BUKHARI

 

Aïcha a rapporté : « Lorsque le Prophète est tombé gravement malade et que sa maladie s’est aggravée, il a demandé à ses épouses la permission d’être soignée dans ma maison et il a été autorisé. Il est sorti avec l’aide de deux hommes et ses jambes traînaient sur le sol. Il était entre Al-Abbas et un autre homme. 'Ubaid Ullah a dit : « J’ai dit à Ibn 'Abbas ce que 'Aïcha avait raconté et il a dit : 'Savez-vous quel était le (deuxième) homme dont 'Aïcha n’a pas mentionné le nom' ? » J’ai dit : « Non. » Ibn 'Abbas a dit : « C’était Ali Ibn Abi Talib. » "
Sahih Bukhari 1:11:634

 

Rapporté par Anas bin Malik : Une juive apporta un mouton empoisonné (cuit) pour le Prophète qui en mangea. Elle a été amenée au Prophète et on lui a demandé : « Devons-nous la tuer ? » Il a dit : « Non. » J’ai continué à voir l’effet du poison sur le palais de la bouche de l’Apôtre d’Allah.
Sahih Bukhari 3:47:786

 

Rapporté par 'Aïcha et Ibn 'Abbas : Sur son lit de mort, le Messager d’Allah lui a mis un drap sur le visage et lorsqu’il avait chaud, il l’enlevait de son visage. Lorsqu’il fut dans cet état, il dit : « Que la malédiction d’Allah soit sur les Juifs et les Chrétiens, car ils construisent des lieux de culte sur les tombes de leurs prophètes. » Il entendait avertir (les musulmans) de ce qu’ils (les juifs et les chrétiens) avaient fait.
Sahih Bukhari 4:56:660

 

Ibn Abbas a rapporté : 'Umar bin Al-Khattab avait l’habitude de laisser Ibn Abbas s’asseoir à côté de lui, alors 'AbdurRahman bin 'Auf a dit à 'Umar : « Nous avons des fils qui lui ressemblent. » 'Umar répondit : « (Je le respecte) à cause de son statut que tu connais. » 'Umar demanda alors à Ibn 'Abbas la signification de ce verset sacré : « Quand viendra l’aide d’Allah et la conquête de la Mecque... (110.1)

Ibn 'Abbas répondit : « Cela indiquait la mort du Messager d’Allah dont Allah l’a informé. » 'Umar dit : « Je ne comprends rien d’autre que ce que vous comprenez. »

Rapporté par 'Aïcha : Le Prophète, dans la maladie dont il est mort, avait l’habitude de dire : « Ô 'Aïcha ! Je ressens encore la douleur causée par la nourriture que j’ai mangée à Khaibar, et à ce moment-là, j’ai l’impression que mon aorte est coupée à cause de ce poison.
Sahih Bukhari 5:59:713

 

 

Rapporté par Ibn Abbas : Jeudi ! Et comme c’était génial ce jeudi ! La maladie du Messager d’Allah s’est aggravée (jeudi) et il a dit : Apporte-moi quelque chose afin que je puisse t’écrire quelque chose après lequel tu ne t’égareras jamais. Les gens (présents là-bas) différaient sur ce point, et il n’était pas juste de différer devant un prophète. Certains disaient : « Qu’est-ce qui ne va pas chez lui ? (Pensez-vous) qu’il est en train de délire (gravement malade) ? Demandez-lui (de comprendre son état)." Ils allèrent donc trouver le Prophète et lui demandèrent de nouveau. Le Prophète dit : « Laissez-moi, car mon état actuel est meilleur que celui pour lequel vous m’appelez. » Puis il leur ordonna de faire trois choses. Il a dit : « Chassez les païens de la péninsule arabique ; respectez et offrez des cadeaux aux délégations étrangères comme vous m’avez vu m’occuper d’elles. (Dit bin Jubair, le sous-narrateur a dit qu’Ibn Abbas a gardé le silence en récompense du troisième ordre, ou il a dit, « Je l’ai oublié. ») (Voir Hadith n° 116 Vol. 1))
Sahih Bukhari 5:59:716

 

Aïcha : C’est l’une des faveurs d’Allah à mon égard que le Messager d’Allah ait expiré dans ma maison le jour de mon tour alors qu’il était appuyé contre ma poitrine et qu’Allah ait fait se mêler ma salive à la sienne à sa mort. 'Abdur-Rahman est entré vers moi avec un Siwak à la main et je soutenais (le dos du) Messager d’Allah (contre ma poitrine). J’ai vu le Prophète le regarder (c’est-à-dire Siwak) et j’ai su qu’il aimait le Siwak, alors je lui ai dit : « Dois-je le prendre pour toi ? » Il hocha la tête en signe d’approbation. Alors je l’ai pris et il était trop rigide pour qu’il puisse l’utiliser, alors j’ai dit : « Dois-je l’adoucir pour toi ? » Il hocha la tête en signe d’approbation. Alors je l’ai ramolli et il s’est nettoyé les dents avec. Devant lui, il y avait une cruche ou une boîte de conserve (le sous-narrateur, 'Umar est dans le doute quant à savoir laquelle était la bonne) contenant de l’eau. Il commença à tremper sa main dans l’eau et à se frotter le visage avec, il dit : « Nul n’a le droit d’être adoré en dehors d’Allah. La mort a ses agonies. Il leva alors les mains (vers le ciel) et commença à dire : « Avec le meilleur compagnon », jusqu’à ce qu’il expire et que sa main tombe.
Sahih Bukhari 5:59:730

 

Urwa a rapporté : 'Aïcha a dit : « L’Apôtre d’Allah, dans sa maladie mortelle, avait l’habitude de demander : 'Où serai-je demain ? Où serai-je demain ? », cherchant « le tour d’Aïcha. Ses épouses lui permettaient de rester où il le souhaitait. Il resta donc chez Aïcha jusqu’à ce qu’il expire pendant qu’il était avec elle. Aïcha ajouta : « Le Prophète est décédé le jour de mon tour dans ma maison et il a été emmené à Allah alors que sa tête était contre ma poitrine et que sa salive se mêlait à ma salive. » Aisha ajouta : « Abdur-Rahman bin Abu Bakr est entré, portant un Siwak avec lequel il se nettoyait les dents. Le Messager d’Allah l’a regardé et je lui ai dit : « Ô 'AbdurRahman ! Donnez-moi ce Siwak. Alors il me l’a donné et je l’ai coupé, mâché (son extrémité) et l’ai donné au Messager d’Allah qui s’est nettoyé les dents avec pendant qu’il reposait contre ma poitrine.
Sahih Bukhari 5:59:731

 

Aïcha : Le Prophète expira dans ma maison et le jour de mon tour, il s’appuya contre ma poitrine. L’une d’entre nous (c’est-à-dire les épouses du Prophète) avait l’habitude de réciter une prière demandant à Allah de le protéger de tous les maux lorsqu’il tombait malade. J’ai donc commencé à demander à Allah de le protéger de tous les maux (en récitant une prière). Il leva la tête vers le ciel et dit : « Avec les plus hauts compagnons, avec les plus hauts compagnons. » 'Abdur-Rahman bin Abu Bakr est passé en portant une tige de feuille fraîche d’un palmier dattier et le Prophète l’a regardée et j’ai pensé que le Prophète en avait besoin (pour se laver les dents). Alors je l’ai pris (de 'Abdur Rahman) et j’ai mâché sa tête et je l’ai secoué et je l’ai donné au Prophète qui s’est nettoyé les dents avec, de la meilleure façon qu’il ait jamais nettoyé ses dents, puis il me l’a donné, et soudain sa main est tombée ou elle est tombée de sa main (c’est-à-dire qu’il a expiré). Alors Allah a fait se mêler ma salive à la sienne lors de son dernier jour sur terre et de son premier jour dans l’au-delà.
Sahih Bukhari 5:59:732

 

Rapporté par 'Aïcha : Abou Bakr est venu de sa maison à As-Sunh sur un cheval. Il mit pied à terre et entra dans la mosquée, mais ne parla pas aux gens jusqu’à ce qu’il entre dans 'Aïcha et se rende directement chez le Messager d’Allah qui était recouvert d’un tissu Hibra (c’est-à-dire une sorte de tissu yéménite). Il découvrit alors le visage du Prophète et se prosterna devant lui, l’embrassa et pleura en disant : « Que mon père et ma mère soient sacrifiés pour toi. Par Allah, Allah ne vous fera jamais mourir deux fois. Quant à la mort qui a été écrite pour vous, elle est venue sur vous.

Rapporté par Ibn 'Abbas : Abou Bakr sortit pendant qu’Umar bin Al-Khattab parlait aux gens. Abou Bakr dit : « Assieds-toi, ô Omar ! » Mais 'Umar refusa de s’asseoir. Alors le peuple vint à Abou Bakr et quitta Omar. Abou Bakr a dit : « Pour continuer, si quelqu’un parmi vous adorait Mohammed, alors Mohammed est mort, mais si quelqu’un d’entre vous adorait Allah, alors Allah est vivant et ne mourra jamais. Allah a dit : « Mohammed n’est rien de plus qu’un Apôtre, et en effet, de nombreux apôtres sont décédés avant lui. (jusqu’à la fin du verset) ...... Allah récompensera ceux qui sont reconnaissants. (3.144) Par Allah, c’était comme si les gens ne savaient jamais qu’Allah avait révélé ce verset auparavant jusqu’à ce qu’Abou Bakr le récite et que tout le monde le reçoive de lui, et j’ai entendu tout le monde le réciter.

Rapporté par Az-Zuhri : Saïd bin Al-Musaiyab m’a dit que 'Umar a dit : « Par Allah, quand j’ai entendu Abou Bakr réciter, mes jambes ne pouvaient pas me soutenir et je suis tombé au moment même où je l’ai entendu réciter cela, déclarant que le Prophète était mort. »
Sahih Bukhari 5:59:733

 

 

Aïcha a rapporté que pendant sa maladie mortelle, le Messager d’Allah avait l’habitude de demander à ses épouses : « Où resterai-je demain ? Où vais-je rester demain ? Il attendait avec impatience le tour d’Aisha. Alors toutes ses femmes lui permirent de rester où il le voulait, et il resta dans la maison d’Aïcha jusqu’à ce qu’il y meure. Aïcha ajouta : Il est mort le jour de mon tour habituel chez moi. Allah l’a pris à Lui alors que sa tête était entre ma poitrine et mon cou et que sa salive était mélangée à ma salive.
Sahih Bukhari 7:62:144

 

SAHIH MUSLIM

 

Anas rapporta qu’une juive vint trouver le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah sur lui) avec du mouton empoisonné et qu’il en prit ce qui lui avait été apporté. (Quand il sentit l’effet de ce poison) il l’appela et l’interrogea à ce sujet, sur quoi elle dit : J’avais décidé de te tuer. Là-dessus, il dit : « Allah ne te donnera jamais le pouvoir de le faire. » Il (le narrateur) a dit qu’ils (le Compagnon du Saint Prophète) ont dit : Ne devrions-nous pas la tuer ? Là-dessus, il a dit : Non. Il (Anas) a dit : « J’ai ressenti (les effets de ce poison) sur la luette du Messager d’Allah.
Sahih Mouslim 26:5430

 

Anas b. Malik a rapporté qu’une juive a apporté de la viande empoisonnée et l’a ensuite servie au Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah sur lui)
Sahih Mouslim 26:5431

 

 ABOU DAWUD

 

Aïcha (art) Ummul Mu’minin : Par Allah, nous ne savions pas si nous devions enlever les vêtements du Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) comme nous avons enlevé les vêtements de nos morts, ou le laver pendant que ses vêtements étaient sur lui. Lorsqu’ils (les gens) divergeaient entre eux, Allah les empêchait de s’endormir jusqu’à ce que chacun d’eux ait posé son menton sur sa poitrine. Alors un orateur prit la parole d’un côté de la maison, et ils ne savaient pas qui il était : Lavez le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) pendant que ses vêtements sont sur lui. Ils se tinrent donc autour du Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) et le lavèrent pendant qu’il portait sa chemise. Ils ont versé de l’eau sur sa chemise et l’ont frotté avec sa chemise et non avec leurs mains. Aïcha avait coutume de dire : « Si j’avais su d’avance de ma liaison ce que j’ai découvert plus tard, personne ne l’aurait lavé sauf ses femmes.
Sunan Abu Dawud 20:3135

 

Rapporté par Abdullah ibn Abbas : Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) était enveloppé de trois vêtements fabriqués à Najran : deux vêtements et une chemise avec lesquels il est mort.
Sunan Abu Dawud 20:3147

 

Rapporté par l’émir : Ali, Fadl et Oussama ibn Zayd ont lavé le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) et ils l’ont déposé dans son sépulcre. Marhab ou Ibn AbuMarhab m’a dit qu’ils ont également fait en sorte qu’AbdurRahman ibn Awf les rejoigne. Quand Ali fut libre, il dit : « Le peuple de l’homme le sert. »
Sunan Abu Dawud 20:3203

 

Rapporté par Al-Qasim ibn Muhammad ibn AbuBakr : J’ai dit à Aïcha ! Mère, montre-moi la tombe du Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) et de ses deux compagnons (qu’Allah les agrée). Elle m’a montré trois tombes qui n’étaient ni hautes ni basses, mais qui étaient étalées de galets rouges et doux dans un espace ouvert.
Sunan Abu Dawud 20:3214

 

Rapporté par Jabir ibn Abdullah : Ibn Shihab a dit : Jabir ibn Abdullah avait l’habitude de dire qu’une juive des habitants de Khaybar avait empoisonné un mouton rôti et l’avait présenté au Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) qui lui avait pris sa patte antérieure et en avait mangé. Un groupe de ses compagnons mangea également avec lui.

Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) dit alors : « Éloigne tes mains (de la nourriture). Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) envoya quelqu’un vers la Juive et il l’appela.

Il lui dit : As-tu empoisonné cette brebis ? La juive répondit : « Qui t’a informé ? Il dit : « Cette patte de devant que j’ai dans ma main m’a informé. Elle a dit : Oui. Il a dit : « Qu’est-ce que vous vouliez dire par là ? Elle a dit : « Je pensais que si tu étais prophète, cela ne te ferait pas de mal ; si tu n’étais pas prophète, nous nous débarrasserions de lui (c’est-à-dire du Prophète). Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) lui a alors pardonné et ne l’a pas punie. Mais quelques-uns de ses compagnons qui en avaient mangé moururent. Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) s’était mis en coupe sur l’épaule à cause de ce qu’il avait mangé des brebis. AbuHind le prit en coupe avec la corne et le couteau. Il était un client des Banu Bayadah des Ansar.
Sunan Abu Dawud 39:4495

 

Rapporté par AbuSalamah : Une juive présenta un mouton rôti au Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) à Khaybar.

Il mentionne ensuite le reste de la tradition comme celle de Jabir (n° 4495). Il dit : « Alors Bashir ibn al-Bara' ibn Ma’rur al-Ansari mourut. Il envoya quelqu’un rendre visite à la Juive, et lui dit : Qu’est-ce qui t’a motivée à faire l’œuvre que tu as faite ? Il mentionne ensuite le reste de la tradition semblable à celle mentionnée par Jabir (n° 4495).

Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) ordonna alors à son sujet et elle fut tuée. Mais il (AbuSalamah) n’a pas mentionné la question des ventouses.
Sunan Abu Dawud 39:4496

 

 

Muhammad ibn Amr a dit sur l’autorité d’AbuSalamah, et il n’a pas mentionné le nom d’AbuHourayrah : Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) avait l’habitude d’accepter des cadeaux mais pas l’aumône (sadaqah).

Cette version ajoute : Une juive lui présenta donc à Khaybar un mouton rôti qu’elle avait empoisonné. Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) en mangea et les gens en mangèrent aussi.

Il dit alors : « Retire tes mains (de la nourriture), car on m’a appris qu’elle est empoisonnée. Bishr ibn al-Bara' ibn Ma’rur al-Ansari est mort.

Alors il (le Prophète) envoya chercher la Juive (et lui dit) : Qu’est-ce qui t’a motivée à faire le travail que tu as fait ?

Elle dit : « Si tu étais prophète, cela ne te ferait pas de mal ; mais si tu étais roi, je débarrasserais ton peuple. Le Messager d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) ordonna alors à son sujet et elle fut tuée. Il dit alors de la douleur dont il mourut : « Je continuais à ressentir la douleur du morceau que j’avais mangé à Khaybar. C’est le moment où il m’a coupé l’aorte.
Sunan Abu Dawud 4512

 

 

Umm Mubashshir a dit au Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) au cours de la maladie dont il est mort : Que penses-tu de ta maladie, Apôtre d’Allah (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) ? Je ne pense pas à la maladie de mon fils, si ce n’est à la brebis empoisonnée qu’il avait mangée avec vous à Khaybar. Le Prophète (paix et bénédictions d’Allah soient sur lui) a dit : « Et je ne pense à ma maladie qu’à cela. C’est à ce moment-là qu’il m’a coupé l’aorte.
Sunan Abu Dawud 39:4499

 

SIRA

 IBN ISHAQ

 

Lorsque l’apôtre eut reposé Zaynab d. al-Harith, l’épouse de Sallam b. Mishkam lui prépara un agneau rôti, après lui avoir d’abord demandé quel plat il préférait. Quand elle a appris que c’était l’épaule, elle y a mis beaucoup de poison et a empoisonné tout l’agneau. Puis elle l’apporta et le plaça devant lui. Il saisit l’épaule et en mâcha un morceau, mais il ne l’avala pas. Bishr b. al-Bara' b. Ma’rur qui était avec lui en prit un peu comme l’apôtre l’avait fait, mais il l’avala, tandis que l’apôtre le recrachait en disant : « Cet os me dit qu’il est empoisonné. » Alors il appela la femme et elle se confessa, et quand il lui demanda ce qui l’avait poussée à faire cela, elle répondit : « Tu sais ce que tu as fait à mon peuple. Je me suis dit : S’il est roi, je me soulagerai de lui, et s’il est prophète, il sera informé. Alors l’apôtre la laissa partir. Bishr mourut de ce qu’il avait mangé.
Marwan b. 'Uthman b. Abu Sa’id b. al-Mu’alla m’a dit : L’apôtre avait dit dans sa maladie dont il devait mourir quand Umm Bishr d. aI-Bara' vint lui rendre visite : « Ô Umm Bishr, c’est le moment où je ressens une douleur mortelle à cause de ce que j’ai mangé avec ton frère à Khaybar. » Les musulmans considéraient que l’apôtre était mort en martyr en plus de la fonction prophétique dont Dieu l’avait honoré.
Ibn Ishaq (m. 768) ; Ibn Hisham (m. 833), A. Guillaume, éd., La vie de Mohammed [Sirat Rasul Allah], Oxford UP, p. 516, ISBN 0-19-636033-1, 1955
ابن إسحاق; ابن هشام, سيرة ابن هشام ت السقا, vol. 2, al-Maktabah al-Shamilah, p. 338

 

AL TABARI

Lorsque le Messager de Dieu s’est reposé de son travail, Zaynab bt. alHarith, l’épouse de Sallam b. Mishkam lui servit un mouton rôti. Elle avait demandé quelle partie de la brebis le Messager de Dieu préférait et on lui avait répondu que c’était la patte avant. Elle chargea donc cette partie de poison, et elle empoisonna aussi le reste des brebis. Puis elle l’a apporté. Lorsqu’elle l’a présenté au Messager de Dieu, il a pris la patte avant et en a mâché un morceau, mais il ne l’a pas avalé. Avec lui se trouvait Bishr b. al-Bars' b. Ma’rur, qui, comme le Messager de Dieu, en prit un peu, Bishr, cependant, l’avala, tandis que le Messager de Dieu le recrachait en disant : « Cet os m’informe qu’il a été empoisonné. » Puis il appela la femme, et elle avoua. Il m’a demandé : « Qu’est-ce qui vous a amené à faire cela ? » Elle dit : « Comment tu as affligé mon peuple, on ne te l’a pas caché. Alors j’ai dit : 'S’il est prophète, il sera informé ; mais s’il est roi, je serai débarrassé de lui. Le Prophète lui a pardonné. Bishr b. al-Bars mourut de la nourriture qu’il avait mangée.

D’après Ibn Humayd, Salamah, Muhammad b. Ishaq, Marwan b. 'Uthman b. Abi Said b. al-Mu’alla, qui a dit : Le Messager de Dieu a dit que pendant la maladie dont il est mort, la mère de Bishr b. al-Bara' était venue lui rendre visite : « Umm Bishr, en ce moment même, je sens mon aorte sectionnée à cause de la nourriture que j’ai mangée avec ton fils à Khaybar. » Les musulmans croyaient qu’en plus de l’honneur de la prophétie que Dieu lui avait accordé, le Messager de Dieu mourait en martyr.

Selon Ibn Ishaq : Après que le Messager de Dieu en eut fini avec Khaybar, il retourna à Wadi al-Qura et assiégea ses habitants pendant quelques nuits ; puis il retourna à Médine.
al-Tabari (mort en 923), Michael Fishbein, éd.,L’histoire d’al-Tabari [Ta’rikh al-rusul wa’l-muluk],vol. VIII, SUNY Press, pp. 123-124,ISBN0-7914-3149-5, 1997
أبو جعفر الطبري, تاريخ الرسل والملوكvol. 3, al-Maktabah al-Shamilah, pp. 15-16

 

 

Ibn Humayd--Salamah--Ibn Ishaq (dans un récit que nous avons cité de lui (voir Tabari, ci-dessus, I, 1800) sur l’autorité d’al-Zuhri-'Ubaydallah b. 'Abdallah-'A’ishah : Alors le Messager de Dieu descendit [de la chaire], entra dans sa maison et la douleur vint, toute entière, jusqu’à ce qu’il soit épuisé. Quelques-unes de ses épouses, Umm Salamah, Maymunah et certaines des épouses des musulmans, parmi lesquelles se trouvait Asma' b. 'Umays, se rassemblèrent autour de lui, tandis que son oncle al-'Abbas b. 'Abd al-Muttalib était avec lui. Ils ont convenu de le forcer à prendre des médicaments. Al-'Abbas dit : « Que moi le forcer », et [le Messager de Dieu] a été forcé. Après que le Messager de Dieu se soit rétabli, il demanda qui avait fait cela avec lui. Ils ont dit que c’était son oncle al-Abbas. Pointant du doigt la direction de l’Abyssinie, le Prophète dit : « C’est un médicament apporté par des femmes de ce pays. » Lorsqu’il leur demanda pourquoi ils l’avaient fait, al-'Abbas répondit : « Ô Messager de Dieu, nous craignions que tu ne sois pleurésie (dhat al-janb). » Il répondit : « C’est une maladie dont Dieu ne veut pas m’affliger. Que personne ne reste dans la maison jusqu’à ce qu’il soit forcé de prendre ce médicament, sauf mon oncle. Bien que Maymunah ait jeûné, elle a été forcée de le faire à cause du serment du Messager de Dieu en guise de rétribution pour ce qu’ils lui avaient fait.
al-Tabari (mort en 923), Ismail K. Poonawala, éd., L’histoire d’al-Tabari [Ta’rikh al-rusul wa’l-muluk], vol. IX, SUNY Press, pp. 177-178, ISBN 0-88706-691-7, 1990
أبو جعفر الطبري, تاريخ الرسل والملوك, vol. 3, al-Maktabah al-Shamilah, p. 195

 

Muhammad b. 'Abdallah b. 'Abd al-Hakam--Shu’ayb b. al-Layth--al-Layth--Yazid b. al-Had--Musa b. Sarjis--al-Qasim--'A’ishah : Avant que le Messager de Dieu ne meure, j’ai vu un bol d’eau près de lui. Il avait l’habitude de mettre sa main dans le bol et de s’essuyer le visage en disant : « Ô mon Seigneur, aide-moi [à surmonter] la sévérité de l’agonie de la mort (sakrat almawt). »
al-Tabari (mort en 923), Ismail K. Poonawala, éd., L’histoire d’al-Tabari [Ta’rikh al-rusul wa’l-muluk], vol. IX, SUNY Press, p. 181, ISBN 0-88706-691-7, 1990
أبو جعفر الطبري, تاريخ الرسل والملوك, vol. 3, al-Maktabah al-Shamilah, p. 197

 

Ibn Humayd--Salamah--Ibn Ishaq--Ya’qub b. 'Utbah--al-Zuhri--'Urwah--'A’ishah : Ce jour-là, après que le Messager de Dieu fut allé à la mosquée, il revint et se coucha sur mes genoux. Un homme de la famille d’Abou Bakr est venu à moi, et il avait un siwak frais à la main. Le Messager de Dieu l’a regardé d’une telle manière que je savais qu’il le voulait. Je l’ai pris, je l’ai mâché jusqu’à ce que je l’aie ramolli et je le lui ai donné. Il s’est frotté les dents avec plus d’énergie que je ne l’avais jamais vu le faire auparavant. Puis il l’a posé, et je l’ai trouvé en train de devenir lourd sur mes genoux. Quand je regardai son visage, ses yeux restèrent fixes pendant qu’il disait : « Non, le compagnon le plus exalté est celui du paradis. » J’ai dit : « Par Celui qui t’a envoyé avec la vérité, il t’a été donné le choix, et tu as choisi », et il est mort.
Ibn Humayd --Salamah--Muhammad b. Ishaq--Yahya b. 'Abbad b. al-Zubayr--son père 'Abbad : J’ai entendu 'A’ishah dire : "Le Messager de Dieu est mort sur mon sein pendant mon tour, et je n’ai fait de tort à personne à son égard. C’est à cause de mon ignorance et de ma jeunesse que le Messager de Dieu est mort alors qu’il était sur mes genoux. Puis j’ai posé sa tête sur un oreiller et je me suis levé en me frappant la poitrine et en me giflant le visage avec les femmes
al-Tabari (mort en 923), Ismail K. Poonawala, éd., L’histoire d’al-Tabari [Ta’rikh al-rusul wa’l-muluk], vol. IX, SUNY Press, pp. 182-183, ISBN 0-88706-691-7, 1990
أبو جعفر الطبري, تاريخ الرسل والملوك, vol. 3, al-Maktabah al-Shamilah, p. 199

 

 

Ibn Humayd--Salamah--Ibn Ishaq--al-Zuhri--Sa’id b. al-Musayyib--Abu Hurayrah : Lorsque le Messager de Dieu mourut, 'Umar b. al-Khattab se leva en disant : "Certains hypocrites prétendent que le Messager de Dieu est mort. Par Dieu, il n’est pas mort, mais il est allé vers son Seigneur comme Moïse b. 'Imran est allé et est resté caché de son peuple pendant quarante jours. Moïse revint après qu’on eut dit qu’il était mort. Par Dieu, le Messager de Dieu reviendra et coupera les mains et les pieds de ceux qui prétendent qu’il est mort.
Lorsque la nouvelle [de la mort du Prophète] parvint à Abou Bakr, il vint et mit pied à terre près de la porte de la mosquée [où] 'Umar s’adressait aux gens. Il ne prêta attention à rien et alla [directement] vers le Messager de Dieu dans la maison de 'A’ishah où il était couché dans un manteau couvert d’un vêtement rayé de tissu yéménite. Abou Bakr s’approcha [du Prophète], découvrit son visage, l’embrassa, puis dit : « Avec mon père, puisses-tu être racheté, et avec ma mère ! En effet, vous avez goûté à la mort que Dieu avait décrétée pour vous. Aucune [autre] mort ne t’atteindra jamais. Puis il replaça le tissu sur le visage [du Prophète] et sortit pendant que 'Umar s’adressait aux gens. Il dit : « Doucement, ô Omar, et tais-toi ! » 'Umar refusa [de se taire] et continua à parler. Quand Abou Bakr vit qu’il ne voulait pas écouter, il s’avança vers les gens. Lorsqu’ils entendirent ses paroles, ils vinrent à lui et laissèrent 'Umar. Après avoir loué Dieu et l’avoir exalté, il a dit : « Ô peuple, ceux qui ont adoré Mohammed, [doivent savoir que] Mohammed est mort ; ceux qui ont adoré Dieu, [doivent savoir que] Dieu est vivant [et] immortel. Il récita ensuite le verset : « Mohammed n’est qu’un messager ; et plus d’un messager l’a précédé. Donc, s’il meurt ou est tué, allez-vous revenir sur vos talons ? Celui qui tourne les talons ne fera pas de mal à Dieu ; et Dieu récompensera les reconnaissants. Par Dieu, c’était comme si les gens ne savaient pas que ce verset avait été révélé au Messager de Dieu jusqu’à ce qu’Abou Bakr le récite ce jour-là. Les gens le lui prenaient, et il était [constamment] dans leur bouche. 'Umar a dit : « Par Dieu, dès que j’ai entendu Abou Bakr le réciter, mes jambes m’ont trahi et je suis tombé par terre, et mes jambes ne m’ont pas supporté. Je savais que le Messager de Dieu était vraiment mort.
al-Tabari (m. 923), Ismail K. Poonawala, éd., L’histoire d’al-Tabari [Ta’rikh al-rusul wa’l-muluk], vol. IX, SUNY Press, pp. 184-185, ISBN 0-88706-691-7, 1990
أبو جعفر الطبري, تاريخ الرسل والملوك, vol. 3, al-Maktabah al-Shamilah, pp. 200-201

 

Abou Jafar [al-Tabari] : Après que le serment d’allégeance a été prêté à Abou Bakr, les gens sont venus préparer l’enterrement du Messager de Dieu. Certains affirment que l’enterrement a eu lieu le mardi, c’est-à-dire le lendemain de la mort du Messager de Dieu, tandis que d’autres disent qu’il a été enterré trois jours après sa mort. Le rapport de certaines de ces autorités a déjà précédé.
Ibn Humayd - Salama - Muhammad b. Ishaq - 'Abdallah b. Abi Bakr, Kathir b. 'Abdallah, et d’autres qui rapportent de 'Abdallah b. 'Abbas : 'All b. Abi Talib, al-'Abbas b. 'Abd al-Muttalib, al-Fadl b. al-'Abbas, Qutham b. al-'Abbas, Oussamah b. Zayd et Shuqran, affranchi du Messager de Dieu, furent ceux qui prirent en charge la lessive du Prophète. Aws b. Khawli, l’un des Banu 'Awf b. al-Khazraj, dit à 'Ali : « Je t’adjure par Dieu, ô 'Ali, [où est] notre part à l’égard du Messager de Dieu ? » Aws était l’un [des compagnons du Messager de Dieu] qui avait participé à Badr. 'Ali lui permit d’entrer, alors il entra et fut présent au Messager de Dieu. 'Ali fit reposer le corps du Prophète sur sa poitrine et 'Abbas, al-Fads et Qutham le retournèrent avec 'Ali. Ce furent Usama et Shuqran qui versèrent de l’eau sur lui, tandis qu’Ali le lavais, après l’avoir appuyé contre sa poitrine. La chemise était toujours sur le corps du Prophète ; 'Ali le frotta de l’extérieur sans toucher directement le Messager de Dieu avec ses mains pendant qu’il disait : « Avec mon père, puisses-tu être racheté, et avec ma mère ! Comme tu es excellent dans la vie et dans la mort ! Le corps du Messager de Dieu ne ressemblait pas à ce à quoi ressemblerait un cadavre ordinaire.
al-Tabari (mort en 923), Ismail K. Poonawala, éd., L’histoire d’al-Tabari [Ta’rikh al-rusul wa’l-muluk], vol. IX, SUNY Press, pp. 202-203, ISBN 0-88706-691-7, 1990
أبو جعفر الطبري, تاريخ الرسل والملوك, vol. 3, al-Maktabah al-Shamilah, pp. 211-212

 

IBN SA'AD

 

Le messager d’Allah et ses compagnons en mangèrent. Il (la chèvre) a dit : « Je suis empoisonné. » Il [Mohammed] dit à ses compagnons : « Tenez-vous par la main ! parce qu’il m’a appris qu’il est empoisonné ! Ils retirèrent leurs mains, mais Bishr Ibn al-Bara expira. Le Messager d’Allah l’envoya chercher et lui demanda : « Qu’est-ce qui t’a poussée à faire ce que tu as fait ? » Elle répondit : « Je voulais savoir si tu es prophète, alors cela ne te fera pas de mal et si tu es roi, je soulagerai ton peuple. Il donna des ordres et elle fut mise à mort.
Ibn Sa’d, vol. 2, p. 249

 

En vérité, une femme parmi les Juifs de Khaibar a présenté au messager d’Allah (de la viande de) chèvre empoisonnée. Il reconnut qu’il était empoisonné, alors il l’envoya chercher et lui demanda : « Qu’est-ce qui t’a poussé à faire ce que tu as fait ? » Elle répondit : « Je pensais que si tu es prophète, Allah t’en informera, et si tu es un prétendant, je soulagerai les gens de toi. Lorsque le messager d’Allah se sentait malade, il se mettait en coupe.
Ibn Sa’d, vol. 2, p. 250

 

Lorsque le Messager d’Allah (qu’Allah le bénisse) a conquis Khaybar et qu’il a eu la paix de l’esprit, Zaynab Bint al-Harith, le frère de Marhab, qui était l’épouse de Sallam Ibn Mishkam, a demandé : « Quelle partie du bouc est aimée par Mohammed ? Ils ont dit : La patte avant. Puis elle en égorgea un de ses chèvres et le fit rôtir (la viande). Alors elle voulait un poison qui ne pouvait pas manquer. Les Juifs discutèrent des poisons et s’unirent sur un seul poison. Elle empoisonna la chèvre en mettant plus de poison sur les pattes antérieures et l’épaule. Lorsque le soleil s’est couché et que le Messager d’Allah (qu’Allah le bénisse) est revenu après avoir guidé les gens dans les prières du Maghrib (coucher du soleil), elle s’est assise à ses pieds. Il lui demanda à son sujet. Elle dit : « Ô Abou al-Qasim ! Voici un présent que je désire vous offrir. Le Prophète, qu’Allah le bénisse, a ordonné qu’il soit pris. Il lui a été servi, ainsi qu’à ses compagnons qui étaient présents, et parmi ceux qui étaient présents se trouvait Bishr Ibn al-Bara Ibn Ma’rur. Puis le Messager d’Allah (qu’Allah le bénisse) dit : « Approchez-vous et prenez le repas du soir. » Le Messager d’Allah (qu’Allah le bénisse) prit la patte avant dont il mit un morceau dans sa bouche. Bishr Ibn al-Bara prit un autre os et le mit dans sa bouche. Lorsque le Messager d’Allah, qu’Allah le bénisse, en mangea un morceau Bishr mangea le sien et d’autres personnes en mangèrent aussi. Alors le Messager d’Allah (qu’Allah le bénisse) dit : « Retiens tes mains ! Parce que cette patte avant ; Et selon une autre version, l’épaule de la chèvre m’a appris qu’elle est empoisonnée. Alors Bishr dit : Par Celui qui vous a rendus grands ! Je l’ai découvert à partir du morceau que j’ai pris. Rien ne m’empêchait de l’émettre, sauf l’idée que je n’aimais pas rendre votre nourriture délicieuse. Quand tu avais mangé ce que tu avais dans la bouche, je n’aimais pas sauver ma vie après la tienne, et je pensais aussi que tu ne l’aurais pas mangé s’il y avait eu quelque chose qui n’allait pas. Bishr ne se leva pas de son siège, mais sa couleur changea pour devenir celle du taylsan (un drap vert). Pendant un an, la douleur ne lui a pas permis de changer de côté, mais avec l’aide d’autres personnes, puis il a expiré. Selon une autre version, il mourut avant de quitter son siège. Il (Ibn Sa’d) a dit : « Un apaisement en a été déposé devant un chien qui l’a mangé et est mort (instantanément) sans pouvoir bouger sa patte avant. Le Messager d’Allah envoya chercher Zaynab Bint al-Harith et lui dit : « Qu’est-ce qui t’a poussée à faire ce que tu as fait ? Elle répondit : « Tu as fait à mon peuple ce que tu as fait. Vous avez tué mon père, mon oncle et mon mari, me disais-je. Si vous êtes prophète, la patte avant vous informera ; et d’autres ont dit : « Si tu es roi, nous nous débarrasserons de toi ». La juive revint comme elle était venue. Il (Ibn Sa’d) a dit : « Le Messager d’Allah (qu’Allah le bénisse) l’a livrée aux héritiers de Bishr Ibn al-Bara qui l’ont mise à mort.
Ibn Sa’d, vol. 2, pp. 251-252

 

Le Messager d’Allah (qu’Allah le bénisse) a vécu après cela trois ans jusqu’à ce qu’il décède à la suite de sa douleur. Pendant sa maladie, il avait l’habitude de dire : Je n’ai pas cessé de trouver l’effet du morceau (empoisonné) que j’ai pris à Khaybar et j’ai souffert plusieurs fois (de son effet) mais maintenant je sens que l’heure est venue de l’incision de ma veine jugulaire, qui est une veine dans le dos
Ibn Sa’d, vol. 2, p. 252

 

Umm Bishr [la mère de l’homme musulman qui est également mort en mangeant du poison], est venue voir le prophète pendant sa maladie et a dit : « Ô apôtre d’Allah ! Je n’ai jamais vu une telle fièvre chez personne. Le prophète lui dit : « Notre épreuve est double et donc notre récompense [dans le ciel] est double. Qu’en disent les gens ? Elle a dit : « On dis-le que c’est une pleurésie. » Alors l’apôtre dit : « Allah n’aimera pas faire souffrir Son messager (pleurésie) parce que cela indique la possession de Satan, mais (ma maladie est le résultat de) le morceau que j’avais emporté avec ton fils. Il m’a coupé la veine jugulaire.
Ibn Sa’d, vol. 2, p. 294

 

Quand le dernier moment du prophète était proche, il avait l’habitude de tirer une feuille sur son visage ; mais comme il se sentait mal à l’aise, il l’ôta de son visage et dit : « Que la damnation d’Allah soit sur les Juifs et les Chrétiens qui ont fait des tombes de leurs prophètes des objets de culte. »
Ibn Sa’d, vol. 2, p. 322

 

CHERHEURS

 AL MUNAJJID

Puis vint l’incident de l’empoisonnement, après la conquête de Khaybar. Al-Boukhari (2617) et Mouslim (2190) ont rapporté d’Anas qu’une femme juive est venue voir le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) avec du mouton empoisonné. Le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) en a mangé, puis il l’a interrogée à ce sujet. Elle a dit : « Je voulais te tuer. » Il a dit : « Allah ne vous a pas permis de faire cela. » Ils dirent : « Allons-nous la tuer ? » Il a dit : « Non. » Il a dit : « Je peux encore voir l’effet de cela sur le palais du Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui).

Al-Nawawi a dit : « C’est comme si le poison laissait encore une trace de noirceur, etc.

Le nom de cette femme était Zaynab bint al-Haarith, l’épouse de Salaam ibn Mashkam, l’un des dirigeants des Juifs.

Les rapports divergent quant à savoir si elle a été tuée ou non. Il semble que le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) ne l’a pas tuée en premier, mais lorsque Bishr ibn al-Bara' ibn Ma’roor est mort des suites des effets de cette nourriture, il l’a exécutée en guise de punition qisaas.

 

Al-Boukhari (5777) a rapporté qu’Abou Hourayrah a dit : « Lorsque Khaybar a été conquis, un mouton empoisonné rôti a été offert au Prophète (par les Juifs). Le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Que tous les Juifs qui ont été ici soient rassemblés devant moi. » Les Juifs étaient rassemblés et le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a dit : « Allez-vous maintenant me dire la vérité, si je vous interroge sur quelque chose ? » Ils ont répondu : « Oui. » Il demanda : « Avez-vous empoisonné cette brebis ? » Ils ont dit : « Oui. » Il m’a demandé : « Qu’est-ce qui vous a poussé à faire cela ? » Ils dirent : « Nous voulions savoir si tu étais un menteur, auquel cas nous nous serions débarrassés de toi, et si tu es un prophète, alors le poison ne te ferait pas de mal. »

Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) avait l’habitude de se sentir malade à cause de cette nourriture, et il était traité avec des ventouses pour cela.

 

Ahmad (2784) a rapporté d’après Ibn Abbas qu’une femme juive a envoyé un cadeau au Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) d’un mouton rôti empoisonné. Il l’envoya chercher et lui demanda : « Qu’est-ce qui t’a poussée à faire ce que tu as fait ? » Elle a dit : « Je voulais voir si tu étais un Prophète, alors Allah te l’aurait dit, et si tu n’étais pas un Prophète, les gens seraient débarrassés de toi. » Chaque fois que le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) se sentait malade à cause de cela, il se faisait soigner par ventouses. Une fois, il a voyagé et quand il est entré dans l’ihraam, il s’est senti malade à cause de cela et il s’est fait soigner par ventouses. L’éditeur d’al-Mousnad l’a classé comme sahih.

Cela a eu un impact sur sa mort, alors il (bénédiction et salut soient sur lui) est mort en martyr (chahid), comme l’a dit Ibn Mas’oud (qu’Allah l’agrée) :

« Si je devais jurer neuf fois par Allah que le Messager d’Allah (bénédiction et salut soient sur lui) a été tué, cela m’est plus cher que de jurer une fois, car Allah l’a fait prophète et l’a fait martyr. » Rapporté par Ahmad, 3617. Les rédacteurs ont dit que son isnaad est authentique selon les conditions des musulmans.

Al-Sindi a dit : « Les mots « il a été tué » signifient par le poison dans la viande de la patte avant du mouton qu’il a mangé, lorsque les effets de cela sont apparus alors qu’il était mourant.

Extrait de Haashiyat al-Musnad, 6/116.

 

Al-Boukhari a rapporté dans son Sahih, dans un rapport de mu’allaq, et al-Haakim a rapporté dans son Mustadrak dans un rapport de mawsool, que 'Aïcha (qu’Allah l’agrée) a dit : « Le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui) avait l’habitude de dire, dans la maladie qui serait sa dernière : 'Ô 'Aïcha, je ressens encore la douleur de la nourriture que j’ai mangée à Khaybar, et cette fois, j’ai l’impression qu’on me coupe l’aorte à cause de ce poison.

L’aorte est la veine qui se trouve vers l’arrière et qui est reliée au cœur ; S’il est coupé, la personne mourra.
Les tentatives des Juifs de tuer le Prophète (bénédiction et salut soient sur lui)
Islam Q&A, Fatwa n° 32762

 

 

AVOIR DES RAPPORTS SEXUELS AVEC UNE ESCLAVE EST LICITE

 

Il a été rapporté d'Anas quele Messager d'Allah avait une esclave avec qui il avait des relations sexuelles, mais 'Aishah et Hafsah ne l'ont pas laissé seul jusqu'à ce qu'il ait dit qu'elle lui était interdite. Alors Allah, le Puissant et Sublime, révéla : « Ô Prophète ! Pourquoi t'interdis-tu (pour toi-même) ce qu'Allah t'a permis. jusqu'à la fin du verset. Coran 66:1

Sunan an-Nasa'i 4:36:3411

 

Selon Bourayda : Le Prophète (ﷺ) envoya 'Alî (Ibn Abî Tâlib) à Khalid Ibn al-Walîd pour rapporter le cinquième du butin, dit Bourayda. En ce temps, je détestais'Âli,...il avait pris son bain (après avoir eu des relations sexuelles avec une fille esclave faisant partie du butin) ! J'ai dit à Khâlid : « tu ne vois pas ce qu'il fait ? » Quand nous sommes revenus vers le Prophète (ﷺ), je le mis au courant ! Il me dit : « Bourayda ! Détestes-tu 'Alî à ce point ? - Oui ! Dis-je. - Ne le déteste pas ! 'Alî a plus de droit que cela du cinquième du butin ! »

Sahih Bukhari 5:59:637

 

MAHOMET ET ZAINAB

 

'Aishah a dit quele Messager d'Allah avait l'habitude de rester avec Zainab bint Jahsh et de boire du miel chez elle.Hafsah et moi avons convenu que si le Prophète entrait chez l'une de nous, elle dirait: "Je perçois l'odeur de Maghafir (une gomme à l'odeur désagréable) sur toi; as-tu mangé du Maghafir?" Il est entré chez l'une d'elles, et elle lui a dit cela. Il a dit: "Non, j'ai plutôt bu du miel chez Zainab bint Jahsh, mais je ne le ferai plus jamais." Alors ce qui suit a été révélé : « Ô Prophète ! Pourquoi vous interdisez-vous (pour vous-même) ce qu'Allah vous a permis.' 'Si vous vous repentez toutes les deux devant Allah, (ce sera mieux pour vous)' à propos de 'Aishah et Hafsah, 'Et (rappelez-vous) quand le Prophète a révélé une affaire confidentielle à l'une de ses femmes' se réfère à lui en disant: " Non, j'ai plutôt bu du miel."

Sunan an-Nasa'i 4:36:3410

 

GOUTER LE MIEL 

 

Rapporté par Aisha, Ummul Mu'minin : Le Messager d'Allah (ﷺ) a été interrogé au sujet d'un homme qui a divorcé de sa femme trois fois, puis elle a contracté un marriage avec un autre qui l'a divorcée avant d'avoir eu des rapports sexuels avec elle, si elle était licite pour l'ancien mari. Elle a dit: « Le Prophète (ﷺ) a répondu: 'Elle n'est pas licite pour le premier (mari) jusqu'à ce qu'elle goûte le miel de l'autre mari et qu'il goûte son miel.' »

Sunan Abu Dawud 12:2302

 

Al-Kassem Ibn Mouhammad a rapporté qu'on demanda Aicha, femme du Prophète r (salallahou alayhi wa salam) (Sur lui la grâce et la paix d'Allah) au sujet d'un homme qui avait définitivement divorcé sa femme, celle-ci étant remariée avec un autre qui l‟a répudié, sans avoir des relations charnelles avec elle. Est-il permis à son premier mari, de l'avoir de nouveau»? Aicha répondit: «non,pas avant qu'il n'ait goûté son petit miel(c.à.d le second mari).

Al Muwatta XXVIII-Le livre du mariage (7) hadith n°18

 

 

 VIOLER LES CAPTIVES EST LICITE

 

Ibn Mouhayrîz raconte : Je suis allé à la mosquée, dit Mouhayrîz, j'y ai vu Aboû Sa'îd al-Khoudrî. Je me suis assis à côté de lui et lui ai demandé des informations sur la « 'azl » (coït interrompu). Il me dit : Nous avons participé avec le Prophète (ﷺ) à l'expédition militaire des Banî Moustaliq ;nous avons capturé des femmes arabes et éprouvé un vif désir pour elles ! Le célibat nous avait été très pénible. Nous avons voulu recourir au coït interrompu('azl pour ne pas enfanter). Mais on se dit :pratique-t-on le 'azl sans interroger le Prophète (ﷺ) alors qu'il est parmi nous ?Nous avons alors interrogé le Prophète (ﷺ) à ce sujet.Il répondit : « Il n'y a pas de mal à ce que vous le pratiquiez, car il n'y a pas d'âme dont Dieu a décidé la création qui ne doive voir le jour jusqu'au Jour dernier. »

Sahih Bukhari 5:59:459

 

D'après Ibn Muhayrîz : « J'entrai chez Abû Sa'îd al-Khudrî en compagnie d'Abû Sirma qui lui demandaÔ Abû Sa'îd ! As-tu entendu le Messager d'Allah (ﷺ) évoquer le coït interrompu ('azl) ?-Oui, répondit-il. Nous participâmes à l'expédition de Bal-Mustaliq avec le Messager d'Allah (ﷺ).Nous fîmes prisonnières les meilleures femmes arabes. Or, le célibat commençait à devenir long pour nous et nous souhaitâmes la rançon.Nous désirâmes avoir des rapports avec elles tout en pratiquant le coït interrompu. Nous dîmes :Agirions-nous alors que le Messager d'Allah (ﷺ) est parmis nous sans l'interroger ?Donc, nous le consultâmes et il répondit :Il n'y a aucun mal à ce que vous le délaissiez. Allah ne décrète pas la création d'une âme qui existera jusqu'au Jour de la Résurrection sans qu'elle ne soit ».

Sahih Muslim 8:3371; see also Al-Muwatta 29:95 and Sunan Abu Dawud 2167 (Ahmad Hasan Ref)

 

 

D'après Aboû Sa'îd al-Khoudrî : Alors qu'il se trouvait assis près du Prophète (ﷺ), Aboû Sa'îd al-Khoudrî dit : « Envoyé de Dieu !Nous approchons nos captives et nous voulons les vendre pour gagner de l'argent ! Que penses-tu du rapport sexuel avec éjaculation de sperme hors du vagin ('azl) ? - Est-ce que vous le faites ? Demanda le Prophète (ﷺ). Vous pouvez ne pas y recourir, car toute âme que Dieu a décrété de créer, verra immanquablement la jour ! »

Sahih Bukhari 3:34:432

 

Abdallah Ibn Dinar a rapporté: «Un homme vint trouver Abdallah Ibn Omar, que j'accompagnais dans la cour de la justice, lui demandant à propos de l'allaitement du grand enfant? Abdallah Ibn Omar lui répondit: «Un homme vint chez Omar Ibn Al-Khattab lui disant: «J'avais une esclave avec qui je cohabitais, ma femme l'avait allaitée, voulant avoir avec l'esclave des rapports, ma femme s'écria: prends garde, car, par Allah, je l'ai allaitée». Omar, ainsi, dit: «Taquine ta femme, et aie des rapports avec ton esclave car l'allaitement n'impose des interdictions que si elle est propre à des nourrissons.

Al-Muwatta 30:13

 

D'après Nâfi', les filles esclaves d'Abdullah ibn Umar avaient l'habitude de lui laver les pieds et de lui apporter une natte de prière alors qu'elles avaient leurs règles. On a demandé à Malik si un homme ayant des femmes et des esclaves pouvait avoir des relations sexuelles avec elles toutes avant de faire le ghusl. Il répondit: "Il n'y a pas de mal à ce qu'il ait des relations sexuelles avec deux de ses esclaves avant de faire le ghusl. Il est cependant désapprouvé d'aller voir une femme libre quand c'est le jour d'une autre. Par contre, il n'y a pas de mal ce qu'il cohabite avec une femme esclave, puis avec une autre tandis qu'il est en état d'impureté majeure." Malik a été interrogé sur un homme en état d'impureté majeure auquel on avait apporté de l'eau pour faire du ghusl, et qui, par oubli, y avait mis son doigt afin d'en jauger la température. Malik a dit: "Si aucune saleté n'a souillé ses doigts, je ne considère pas que cela rende l'eau impure."

Al-Muwatta 2:90

 

Amr b. Shu'aib, sous l'autorité de son père, a déclaré que son grand-père avait rapporté :

Le Prophète (ﷺ) a décidé concernant celui qui était traité comme un membre d'une famille après la mort de son père, à qui il était attribué lorsque les héritiers disaient qu'il était l'un d'eux, que s'il était l'enfant d'une esclave que le père possédait lorsqu'il avait des relations avec elle, il était inclus parmi ceux qui cherchaient son inclusion, mais ne recevait rien de l'héritage qui avait été divisé auparavant; il recevait cependant sa part de l'héritage qui n'avait pas déjà été divisée ; mais si le père auquel il était attribué l'avait renié, il n'était pas uni aux héritiers.

S'il était enfant d'une esclave que le père ne possédait pas ou d'une femme libre avec laquelle il avait des relations illicites, il n'était pas joint aux héritiers et n'héritait pas même si celui à qui il était attribué est le celui qui revendiquait la paternité, puisqu'il était un enfant de la fornication, que sa mère soit libre ou esclave.

Sunan Abu Dawud 12:2258

 

On fit venir, auprès de l’Envoyé d’Allah, Kinânah b. al-Rabi, qui guardait le trésor de Banû al-Nadîr. L’Envoyé d’Allah lui demanda où était ce trésor. Kinânah nia qu’il savait où il était. Un juif vint à l’Envoyé d’Allâh et lui dit : ‘J’ai vu Kinânah fréquenter cette ruine tous les matins.’ Alors l’Envoyé d’Allah dit à Kinanâh : ‘Si on le trouve chez toi, es-tu conscient qu’on va te tuer ?’ Kinanâh répondit ‘oui’. L’Envoyé d’Allah ordonna de creuser la ruine. On en extraya une partie du trésor des Juifs. Il demanda à Kinanâh où se trouvait le reste. Mais Kinanâh refusa de l’indiquer. L’Envoyé d’Allah ordonna à al-Zubayr b. al-’Awwâm de le torturer jusqu’à ce qu’on extraie ce qu’il y a chez lui. Al-Zubayr se mit à faire brûler sa poitrine, jusqu’à ce que Kinanâh fût sur le point de mourir. Puis l’Envoyé d’Allâh l’a livré à Muhammad b. Maslamah et celui-ci coupa son cou, en vengeance de son frère Mahmud b. Maslamah.
Ibn Ishaq p515

 

Après que le Messager de Dieu a conquis al-Qamuq, la forteresse d'In Abi al-Iiugayq, Safiyyah bt. Huyayy b. Akhtab a été amené à lui, et une autre femme avec elle. Bilal, qui était celui qui les a amenés, les a conduits devant certains des Juifs tués. Quand la femme qui était avec Safiyyah les a vus, elle a crié, son visage, et a versé de la poussière sur sa tête. Quand le messager de Dieu l'a vue, il a dit: "Éloigne-moi cette démon!" Il a ordonné que Safiyyah soit gardée derrière lui et que son manteau soit jeté sur elle. Ainsi, les musulmans savaient que le Messager de Dieu l'avait choisie pour lui-même. Le messager de Dieu a dit à Bilal (d'après ce que j'ai reçu) quand il a vu la femme juive faire ce qu'il l'a vue faire: "Es-tu dépourvue de pitié, Bilal, que tu emmènes deux femmes devant leurs hommes tués? "
Chroniques de Tabari Vol 8 p 122 [1581]-[1582]

 

Relaté par 'Abdul' Aziz :

Anas a dit, ' Quand l'Apôtre d'Allah a envahi Khaibar, nous avons offert la prière Fajr là-bas tôt le matin) quand il faisait toujours sombre. Le Prophète est monté à dos de chameau et Abu Talha aussi et je suivais derrière Abu Talha. Le Prophète est passé par la ruelle de Khaibar rapidement et mon genou a touché la cuisse du Prophète. Il a découvert sa cuisse et j'ai vu la blancheur de la cuisse du Prophète. Quand il est entré dans la ville, il a dit, ' Allahu Akbar! Khaibar est détruite. A chaque fois que nous nous approchons près d'une nation (hostile) (pour nous battre) alors le diable sera là dès le matin pour les avertir. ' Il l'a répété trois fois. Les gens sont partis à leurs travails et certains d'entre eux ont dit, ' Muhammad (est venu). ' (Certains de nos compagnons ont ajouté, "Avec son armée.") Nous avons vaincu Khaibar, pris les captifs et le butin a été rassemblé. Dihya est venu et a dit, 'O Prophète d'Allah ! Donnez-moi une fille esclave parmis les captifs. ' Le Prophète a dit, ' Allez et prenez n'importe quelle fille esclave. ' Il a pris Safiya bint Huyai. Un homme est venu au Prophète et a dit, ' O Apôtre d'Allah ! Vous avez donné Safiya bint Huyai à Dihya et elle est la maîtresse du chef de la tribu des Quraiza et d'An-Nadir et elle ne convient à personne, sauf à vous. ' Donc le Prophète a dit, 'dite lui de venir avec elle. ' Ainsi Dihya est venu avec elle et quand le Prophète l'a vue, il a dit à Dihya, ' Prenez n'importe quelle fille esclave parmis les captifs sauf elle. ' Anas a ajouté : le Prophète l’a affranchis de sa condition d’esclave et l'a épousée. "

Thabit a demandé à Anas, "O Abu Hamza! Qu'est-ce que le Prophète lui a payé (comme Mahr) ?" Il a dit, "Elle même était sa Mahr car il l’a affranchi de sa condition d’esclave et l'a ensuite épousée." Anas a ajouté, "pendant ce temps là, Um Sulaim l'a parée pour le mariage (la cérémonie) et la nuit, elle a été envoyé comme une jeune mariée au Prophète. Donc le Prophète était un jeune marié et il a dit, ' Quiconque a de la nourriture devra l'apporter. ' Il a étalé une feuille en cuir (pour la nourriture) et quelques dattes et les autres cuisait le beurre. (Je pense qu'il (Anas) a mentionné As-SawTq). Donc ils ont préparé un plat de Hais (une sorte de repas). Et c'était Walrma (le banquet de mariage) de l'Apôtre d'Allah."
Sahih Bukhari 1:8:367

 

Quand l’Envoyé d’Allah (ﷺ) épousa Safyyah, à Khybar ou sur le chemin du retour, ce fut Umm Sulaym bint Milhân, la mère de Anas b. Mâlik, qui l’embellit pour l’Envoyé d’Allah (ﷺ) et l’avait bien parée. Il coucha avec elle sous une coupole qui leur fut dressée. Abû ‘Ayyûb Khâlid b. Zayd, frère des Banû al-Najjâr veillait près d’eux portant son épée, afin de garder l’Envoyé d’Allah (ﷺ) en tournant autour de la coupole. Le lendemain matin, l’Envoyé d’Allah (ﷺ) le vit en cet endroit-là. Il lui demanda: “Qu’y a-t-il, Ô Abû ‘Ayyûb ?” Celui-ci répondit: “Ô Envoyé d’Allah (ﷺ) ! Je craignais de la part de cette femme à ton égard. C’est une femme dont tu avais tué le père, le mari et son peuple. Il y a peu de temps, elle était encore infidèle. C’est pourquoi je craignais pour toi.” On prétend que l’Envoyé d’Allah (ﷺ) avait dit alors : “Mon Dieu ! Garde Abû ‘Ayyûb comme il a passé la nuit pour me garder.”

Ibn Ishap T2 p 284

 

D'après Aisha, Ummul Mu'minin : Juwayriyyah, fille d'al-Harith ibn al-Mustaliq, est tombée sous le sort de Thabit ibn Qays ibn Shammas, ou de son cousin. Elle a conclu un accord pour acheter sa liberté.C'était une très belle femme, très attirante pour les yeux. Aisha a dit:Elle est ensuite venue voir le Messager d'Allah (paix soit sur lui) lui demandant la possibilité de racheter sa liberté.Quand elle se tenait à la porte, je l'ai regardée avec désapprobation. J'ai réalisé que le Messager d'Allah (paix soit sur lui) la regarderait de la même manière que moi.Elle a dit:Apôtre d'Allah, je suis Juwayriyyah, fille d'al-Harith, et quelque chose m'est arrivé, qui ne vous est pas caché. Je suis tombé sous le sort de Thabit ibn Qays ibn Shammas, etj'ai conclu un accord d'achat de ma liberté. Je suis venu vous demander de l'aide pour l'achat de ma liberté. Le Messager d'Allah (paix soit sur lui) a dit:“Êtes-vous enclin à ce qui est mieux?” Elle a demandé: “Qu'est-ce que c'est, Apôtre d'Allah?” Il répondit :“Je paierai le prix de ta liberté à ta place et je t'épouserai.”Elle a dit : “Je vais le faire”. Elle (Aisha) a dit: “Les gens ont alors entendu dire que le Messager d'Allah (paix soit sur lui) avait épousé Juwayriyyah. Ils ont libéré les captifs en leur possession et les ont libérés, et ont dit: Ils sont les parents du Messager d'Allah (paix soit sur lui) par mariage. Nous n'avons vu aucune femme plus grande que Juwayriyyah qui a apporté des bénédictions à son peuple. Une centaine de familles de Banu al-Mustaliq ont été libérées à cause d'elle”.

Abu Dawud 29:3920

 

 ATTENDRE LA FIN DE L'IDDAH

 

Abu Sa'id Al Khudri a fait remonter au Prophète (ﷺ) la déclaration suivante concernant les captives capturées à Atwas. Il ne doit y avoir aucun rapport sexuel avec une femme enceinte jusqu'à ce qu'elle donne naissance à son enfant ou avec celle qui n'est pas enceinte jusqu'à ce qu'elle ait eu une période menstruelle.

Sunan Abu Dawud 2152

 

Umm Habibah bint 'Irbad bin Sariyah a rapporté de son père qui lui a dit que le Messager d'Allah (ﷺ) a interdit les relations sexuelles avec les prisonnières, jusqu'à ce qu'elles délivrent ce qui est dans leurs utérus."

Jami` at-Tirmidhi 3:19:1564

 

PAYER LA DOTE EN CAS DE VIOL D'UNE FEMME

 

Malik m'a raconté d'Ibn Shihab qu'Abd al-Malik ibn Marwan a rendu un jugement selon lequel le violeur devait payer à la femme violée sa dot. Yahya a dit qu'il a entendu Malik dire: "Ce qui est fait dans notre communauté à propos de l'homme qui viole une femme, vierge ou non vierge, si elle est libre, c'est qu'il doit payer le prix de la mariée de son semblable. Si elle est une esclave, il doit payer ce qu'il a diminué de sa valeur. La peine hadd dans de tels cas est appliquée au violeur, et il n'y a pas de punition appliquée à la femme violée. Si le violeur est un esclave, c'est contre son maître à moins qu'il ne veuille le livrer. »

Al-Muwatta 36:14

MAHOMET PRENAIT UN SEUL BAIN PENDANT LES RAPPORTS SEXUELS

 

Rapporté Anas ibn Malik: Le Prophète avait l'habitude de passer (avoir des relations sexuelles avec) toutes ses femmes en une nuit, et à ce moment-là, il avait neuf femmes.

Sahih Bukhari n°5215 voir aussi Sahih Bukhari n°268

 

ON PEUT S'OPPOSER A L'AVIS DE MAHOMET

 

Moussa b. Talha a rapporté :
Moi et le Messager d'Allah (ﷺ) sommes passés par hasard à côté de gens près des palmiers dattiers. Il (le Saint Prophète) dit : Que font ces gens ? Ils dirent : Ils se greffent, c'est-à-dire. e. ils combinent le mâle avec la femelle (arbre) et donnent ainsi plus de fruits. Sur ce, le Messager d'Allah (ﷺ) a dit : Je ne trouve pas que cela soit d'aucune utilité. Les gens en ont été informés et ont abandonné cette pratique. Le Messager d'Allah (ﷺ) (fut plus tard) informé (que le rendement avait diminué), sur quoi il dit : S'il y a une utilité à cela, alors ils devraient le faire, car ce n'était qu'une opinion personnelle de ma part, et ne le faites pas. suivre mon opinion personnelle ; mais quand je vous dis quelque chose au nom d'Allah, alors acceptez-le, car je n'attribue pas le mensonge à Allah, l'Exalté et le Glorieux. -

Sahih Muslim:236