Sourate 15: 42 -
Sur Mes serviteurs tu n'auras aucune autorité, excepté sur celui qui te suivra parmi les dévoyés.
COMMENT VOULAIT MOURIR MAHOMET
SAHIH AL BUHKARI 2797
Par celui entre les mains duquel se trouve mon âme, j'aimerais être martyrisé pour la cause d'Allah; puis revenir à la vie, puis être martyrisé; puis revenir encore à la vie et être martyrisé; puis revenir encore à la vie, puis être martyrisé.
SOURATE 69: 44-46
Traduction Hilali - Khan
Et si (Mohammed) avait forgé de fausses paroles nous concernant, nous l'aurions saisi par sa main droite (ou avec pouvoir et puissance) alors nous lui couperions son artère de vie (aorte).
SOURATE 69: 44-46
Traduction Pickthall
Et s'il avait forgé de fausses paroles nous concernant, assurément nous l'aurions saisi par la main droite puis nous couperions son artère de vie.
SOURATE 69: 44-46
Traduction Dawood
A-t-il inventé des mensonges nous concernant, nous l'aurions saisi par la main droite et coupé la veine de son cœur.
SOURATE 69: 44-46
Traduction Shakir
Et s'il avait fabriqué contre nous certaines paroles, nous l'aurions certainement saisi par la main droite, puis nous couperons assurément son aorte.
Traduction
Hamidullah révisé"Le Noble Coran"
Et s'il avait forgé quelques paroles qu'ils Nous avait attribuées, Nous l'aurions saisi de la main droite, ensuite, Nous lui aurions tranché l'aorte.
SOURATE 69/44-46
TAFSIR
AL-JALALAYN
Et si le prophète avait inventé des mensonges contre nous, en communiquant de nous ce que nous n'avons pas dit, nous l'aurions sûrement saisi. Nous aurions exigé la vengeance contre lui comme punition par la main droite, par notre force et puissance, puis nous aurions assurément coupé son artère de vie, l'aorte du cœur, une veine qui se connecte avec lui, et qui si elle est rompue, engendre la mort de cette personne.
LE PÉCHÉ DE MAHOMET EN ADORANT LES IDOLES
Ibn Abbas a dit : Un diable nommé « le blanc » (Al Abiyad) vint auprès du messager d'Allah (Mohammed) sous l'apparence de Gabriel et il plaça
dans sa récitation (c'est-à-dire sa récitation du Coran) : « En effet, ces idoles sont d'illustres divinités, dont l'intercession doit être espérée » et le prophète les récita. -
Al-Qurtubi, Shams al-Din, al-Jami' li-Ahkam al-Qur'an, Le Caire, Dar al-Kutab al-Misriyya, 1964, Volume 12, p.84
Satan lui fit répéter ces deux phrases : « ces idoles sont d'illustres divinités, dont l'intercession doit être espérée ». L'apôtre d'Allah les répéta, puis il récita la sourate complète et se prosterna, et les gens qui étaient là se prosternèrent avec lui. -
Ibn Sa'd's « Kitab al Tabagat al Kabir » (Book of the Major Classes), Volume 1, parts 1 and 2, pp. 236 - 239,
Hadith SAHIH AL BUHKARI N° 2617
Une juive apporta un mouton empoisonné (cuit) pour le prophète qui en mangea. Elle fut amenée au prophète à qui il fut demandé: "On la tue?" Il dit: "non". Anas ajouta:
"j'ai continué à voir l'effet du poison sur le palais de la bouche du messager d'Allah".
Hadith SAHIH MUSLIM N° 5430
Une femme juive présenta un agneau empoisonné au messager d'Allah et il en mangea une partie. Lorsqu'il sentit les effets du poison, il l'appela et l'interrogea à ce sujet. Elle répondit alors: "je voulais le tuer". Il répondit: "Allah ne t'aurait jamais donné le pouvoir de faire cela"
Ibn Sa'd, page 252
Le messager d'Allah, fit amener Zaynab Bint al-harith (celle qui l'empoisonna) et lui dit:
"Qu'est ce qui t'a incité à faire ce que tu as fait? Elle répondit: "Tu as fait à mon peuple ce que tu as fait. Tu as tué mon père, mon oncle, mon mari. Donc je me suis dit en moi-même, si tu es un prophète, la patte t'informera"; et d'autres rapportèrent: "si tu n'es qu'un roi, nous nous débarrasserons de toi.
Hadith SUNNA ABI DAWOOD N°4498
Une femme juive à Khaibar a donné à Mohammed, une brebis rotie qu'elle avait empoisonne. Le messager d'Allah en mangea, ainsi que les gens. Alors il dit: "Levez vos mains (arrêtez de manger) car cela m'a informé qu'il est empoisonné". Bishr
b. al-Bara b. Ma'rur al-Ansari mourut.
d'après Ibn Chihâb qui a dit: «Djâbir Ibn 'Abdallah raconte qu'une juive de Khaïbar a empoisonné une brebis rôtie et l'a offerte au Prophète . Celui-ci a pris une épaule et en a mangé, de même qu'un groupe de ses compagnons, puis il leur a dit : «Retirez vos mains de ce rôti». Ensuite, il envoya chercher la femme juive et lui dit: «As-tu empoisonné cette brebis ?». Elle lui répondit :
«Qui t'a informé de cela ? ». «C'est ce morceau qui se trouve dans ma main qui m'en a informé». «Oui» finit-elle par dire. « Que cherches-tu à travers cela ?». Elle répondit: «Je me suis dit : «Si tu es un vrai prophète, cela n'aurait aucun effet sur toi, et si tu n'es pas un vrai prophète, nous nous débarrasserons de toi».
Le Prophète # lui pardonna et ne la châtia pas. Un de ses compagnons qui avait mangé de cette brebis, est mort par la suite. Moussa IBN Oqba a rapporté pour sa part d'après Ezzuhri, ceci «Lorsque le Prophète a conquis Khaibar et tué parmi les juifs, Zaynab Bint BI-Hâreth la juive, la nièce de Mirhab, a offert à Safiyya une brebis rôtie après l'avoir empoisonnée. Ele y mit beaucoup de poison dans l'épaule et le bras, aprés avoir ÉTÉ informée que c'étaient les parties que le Prophète aimait le plus.
Lorsque le Prophète # entra chez Safiyya, en compagnie de Bichr Ibn El-Berrâ Ibn Ma'roûr, un des hommes des Banou Selma. elle leur présenta la brebis rôtie. Le Prophète prit l'épaule et en mordit un coup. Quant à Bichr, il prit un os charnu et mordit dedans.
Et Lorsque le Prophète eut avalé son morceau, Bichr en fit autant avant que le prophète # ne dise : «Enlevez vos mains de cette brebis, car son épaule qu'elle est empoisonnée. Birch Ibn El-Berrà lui dit : «Par Celui qui t'a envoyé avec la vérité, j'ai senti cela dans le morceau que j'ai abhorré ta nourriture.
Et lorsque tu as mâché ton morceau, j'ai mâché le mien, en espérant ne pas l'avoir mâché alors qu'il porte un tort». Avant que Bichr ne se soit levé de sa place, son teint devint noirâtre et des douleurs le prirent au point de ne plus pouvoir se retourner tout seul.
AS SIRA. LA BIOGRAPHIE DU PROPHÈTE MOHAMMED SELON IBN KATHIR P. 863-864
Ibn Sad, p. 252-253
Le prophète prit de l'avant-patte, un morceau qu'il mit dans sa bouche. Bishr prit un autre os, et le mit dans sa bouche. Quand le prophète mangea un morceau, Bishr et d'autres en mangèrent aussi. Alors le prophète dit: Retirez vos mains, car la patte-avant m'a informé qu'elle est empoisonnée.
Là-dessus Bishr ajouta: Par celui qui t'a rendu grand! j'ai découvert cela dans le morceau que j'ai pris.
Hadith IBN MAJAH N° 1622
Aisha dit: Je n'ai jamais vu quelqu'un souffrir avec autant de douleur que le messager d'Allah.
Hadith SAHIH AL BUHKARI N° 2588
Aisha a dit: Quand le prophète est devenu malade, et que sa condition est devenue sérieuse, il demanda à ses épouses de lui permettre d'être traité dans ma maison, et elles l'ont permis. Il sortit, appuyé sur deux hommes, alors que ses pieds traînaient sur le sol.
Hadith SUNNA ABI DAWOOD N°4498
Alors le prophète fit amener la femme juive et lui dit: Qu'est-ce qui t'a motivé à faire ca? Elle dit: "si vous êtes un prophète, cela ne vous nuira pas, mais si vous êtes un roi, le peuple sera débarrassé de vous.
Le messager d'Allah ordonna qu'elle soit tuée.
SUNAN ABU DAWOOD 4498
Le Messager d'Allah donna des ordres la concernant, et elle fut tuée. Il dit ensuite à propos de la douleur dont il était mort:
Je continuais à ressentir la douleur due au morceau que j'avais mangé
à Khaybar. C'est le moment où il m'a coupé l'aorte.
SUNNA ABU DAWOOD 4499
Je ne vois pas d'autres raisons à la maladie de mon fils, seul le mouton empoisonné qu'il a mangé avec vous à Khaybar.
Le prophète dit: et je ne pense pas qu'il y ait une raison excepté celle-ci;
Et c'est le moment où mon aorte fut coupée.
HISTOIRES D AL TABARI Vol. 8 P. 124
Le messager d'Allah a dit durant son agonie finale causé par la maladie - La mère de Bishr b.
al-Bara lui a rendu visite - Umm Bishr, à ce moment précis, je sens que mon aorte est coupée, à cause de la nourriture que j'ai mangée avec votre fils à Khaybar.
Hadith SUNNA ABU DAWOOD N° 4428
Le prophète dans sa maladie qui causa sa mort disait: "O Aisha, je ressens encore la douleur causée par la nourriture que j'ai mangée à Khaybar; et à ce moment, à cause de ce poison, je ressens comme si on me coupait l'aorte".
Raconté par Aicha : Le prophète disait à propos de cet aliment qui causa sa mort : « O Aicha ! Je sens encore la douleur causée par la nourriture que j'ai mangée à Khaibar, et à ce moment même, il me semble comme si mon aorte eut été tranchée à cause de ce poison. -
Sahih Boukhari, volume 5, livre 59, n°713
POURQUOI LE PROPHÈTE A T IL SURVECU ENCORE PENDANT 3 ANS ..
A- IL A RECRACHÉ LE MORCEAU
Après la conquête de Khaybar, le prophète séjourna un temps dans la ville. Un jour, une femme juive du nom de Zaynab bint Al Harith, l'épouse de Salam Ibn Mishkham, prépara pour lui une brebis rôtie. Elle s'était bien informée de la partie préférée de l'envoyé de Dieu. Apprenant qu'il aimait particulièrement l'épaule, elle empoissonna la bête en insistant sur cette partie, puis elle l'apporta. Lorsque la viande fut servie, le Prophète mordit un morceau de gigot. Mais il ne put l'avaler. Il le recracha aussitôt et déclara, Cette viande m'informe qu'elle est empoisonnée. Il fit appeler la femme et celle ci avoua. Il lui demanda , pourquoi as tu fait cela, Elle repondit je me suis dit, s il n'est qu'un roi, je me débarrasserai de lui et s il est vraiment un prophète, il sera informé a temps du danger . Il la gracia.
Mais Bish, qui avait avalé un morceau, succomba au poison.
Les sources divergent sur les suites de l'affaire, D aucuns disent qu'il la gracia, d'autres qu'il la fit exécuter. Les savants accordent les deux versions en disant qu'il la gracia d'abord, puis la fit exécuter ensuite, appliquant la peine du talion pour la mort de Bish.
LE NECTAR CACHÉTE P-409-410
Lorsque le Prophète connut un peu de tranquillité, une femme juive, Zaynab bint Härith, lui offrit un agneau rôti.
Elle avait eu soin de lui demander quel morceau de l'agneau il préférait. « L'épaule», avait-il répondu. Elle mit du poison sur toute la bête et, en forte dose, sur l'épaule, et présenta l'agneau sur un plateau devant le Prophète.
Celui-ci saisit l'épaule et en prit une bouchée, mais il trouva qu'elle avait un goût bizarre et il la recracha. À côté de lui était assis Bichr ibn al-Barrâ', qui prit lui aussi une bouchée dans l'épaule et la trouva bonne. Le Prophète dit: «Cet os m'a tout l'air d'avoir été empoi-sonné! • Il appela la femme et l'interrogea : elle reconnut le fait.
IBN HICHAM LA BIOGRAPHIE DU PROPHÈTE MAHOMET P-318
B-LA VENTOUSE
'Abd al-Razzâg rapporte d'après Ma'mar, d'après al-Zuhri, d'après 'Abl al-Rahmân Ibn Kab Ibn Mâlik: une femme juive offrit du mouton au Prophète #, à Khaybar. « Qu'est-ce que c'est ? », s'enquit-il. La femme répondit: « Un cadeau ». Elle se garda de dire « de l'aumône », de peur qu'il ne s'en abstienne. Le Prophète # en mangea, ainsi que ses Compagnons.
Puis, il ordonna: « Arrêtez!», avant de demander à la femme: « As-tu empoisonné ce mouton? » « Qui t'en a informé? », répliqua-t-elle. « Cet os », fit-il, en désignant la patte qu'il tenait à la main. « Oui », avoua-t-
elle. « Pourquoi? », interrogea le Messager d'Allah $. Elle dit: « Pour que les gens soient débarrassés de toi si tu étais un menteur. Si tu es véritablement un Prophète, ce poison ne te nuira point ». Le Prophète se fit poser trois ventouses sur le dos et enjoignit à ses Compagnons d'en faire autant.
Certains d'entre eux moururent, cependant
Selon une autre voie, le Messager d'Allah se fit mettre des ventouses sur son dos à cause de l'agneau [empoisonné] qu'il avait consommé. Abû Hind?, un client des Banû Bayâda des Ansâr, lui fit une saignée en utilisant une corne et une lame. Le Prophète * survécut trois ans à cet épisode jusqu'à ce qu'il commençât à souffrir de sa dernière maladie. Il confia: « Je continue à subir le mal de l'agneau que j'ai mangé à Khaybar, si bien que je sens que mon aorte va se rompre ».
On traite le poison en recourant à l'évacuation et aux remèdes qui s'opposent à l'action du poison. Ces derniers neutralisent celle-ci, soit par leurs natures soit par leurs propriétés. Celui qui ne possède pas le remède au poison doit, immédiatement, pratiquer l'évacuation complète. La plus efficace est la ventouse (al-bijâma), surtout si le pays et le climat sont chauds.
La force du poison court dans le sang et se propage aux veines et autre voies jusqu'au cœur, provoquant ainsi la mort. Le sang est donc ce qui transporte le poison jusqu'au cœur et aux organes. Si la victime du poison se hâte d'enlever le sang, l'élément toxique qui s'est mêlé à lui s'en ira avec lui. S'il s'agit d'une évacuation totale, le poison ne l'affectera point. Au contraire, soit il s'en va soit il faiblit, de telle sorte que la nature prenne le dessus sur lui. Elle l'anéantit alors ou l'affaiblit.
Le Prophète de recourut à la ventouse dans la partie supérieure de son dos. C'est l'endroit le plus proche du cœur permettant la pratique de la bijâma. Le poison sortit avec le sang, mais pas totalement.
IBN QAYYIM ZAD AL-MAAD TOME 3, P 198-199
Un de ses compagnons qui avait mangé de cette brebis, est mort par la suite. Quant au Prophète , il s'est fait faire des saignées à cause de ce qu'il avait mangé de cette brebis. Celui qui lui avait fait faire ces saignées est Abou Hind, un esclave des Banou Biyyâdha parmi les Ansârs »
Ezzuhri ajoute « Djâbir a dit que le Prophète s'était fait faire des saignées par l'intermédiaire d'un esclave des Banou Biyyâcha. Trois ans après, le Prophète ressentit les douleurs de la maladie dont il mourût. Il disait : «Je ressens toujours les effets du morceau de la brebis que j'aie mangé le jour de Khaïbar ; elles me viennent par intermittence jusqu'à ce qu'elles aient fini par arriver à mon aorte».
AS SIRA. LA BIOGRAPHIE DU PROPHÈTE MOHAMMED SELON IBN KATHIR P. 863-864
LA PROPHETIE DE MAHOMET SUR LA MORT CONFIRME QUE C EST UN FAUX PROPHETE
Rapporté par Aws ibn Aws : Le Prophète صلی اللہ علیہ وسلم a dit : Parmi les plus excellents de vos jours, il y a le vendredi ; c’est là qu’Adam a été créé, c’est là qu’il est mort, c’est là que la dernière trompette sonnera et que l’on poussera le cri, alors invoquez ce jour-là d’autres bénédictions sur moi, car vos bénédictions me seront soumises. Les gens demandèrent : « Messager d’Allah, comment se fait-il que nos bénédictions te soient soumises alors que ton corps est en décomposition ? » Il répondit : « Allah, le Très-Haut, a interdit à la terre de consommer les corps des Prophètes. »
Sunan Abu Dawood 1047
Rapporté par Jubair bin Mut’im : Le Messager d’Allah a dit : « J’ai cinq noms : je suis Muhammad et Ahmad ; Je suis Al-Mahi par qui Allah éliminera l’infidélité. Je suis Al-Hashir qui sera le premier à être ressuscité, le peuple qui sera ressuscité là-bas après ; et je suis aussi Al-'Aqib (c’est-à-dire qu’il n’y aura pas de prophète après moi).
Sahih Bukhari 3532